Il est traditionnellement admis que le nom de Judas est la version grecque de l'hébreu "Juda" qui signifie littéralement "Que Dieu soit loué". Toutefois, l'origine de "Iscariote" n'est pas aussi simple et claire. Il est largement admis par les historiens que le grec "iskariotes" vient de l'hébreu ishq'riyoth, qui signifie tout simplement "homme de Kerioth", une ville de Palestine. Judas Iscariote signifierait donc "Judas, de la ville de Kerioth".
Il est admis que Judas a vécu au début du premier siècle de notre ère. Si les théories historiques sur la signification d'"Iscariote" sont avérées, il aurait été originaire du sud de la Judée, ce qui signifie donc qu'il aurait été le seul et unique des 12 disciples de Jésus de Nazareth à venir de Judée, les autres étant tous originaires de la région de Galilée. Bien que nous ne sachions pas précisément ni avec assurance où il a grandi et vécu durant son enfance, il est avéré qu'il a rejoint Jésus pendant son ministère de trois ans, ce qui signifie qu'il étaient en Israël vers l'an 30 de notre ère.
À l'époque, aux premiers siècles, Israël était assujetti à Rome, qui venait de passer du statut de république à celui d'empire immense aux conquêtes simples, rapides et efficaces. En Israël, les Pharisiens et les Sadducéens étaient les maitres religieux d'Israël et du grand temple de Jérusalem, mais ils étaient soumis à l'autorité morale et spirituelle de rois nommés par Rome ou des différents gouverneurs romains.
Israël était alors un pays disloqué par les querelles entre Samariens, Juifs et autres groupes autochtones, mais avec l'assujettissement romain, Israël est devenu un centre névralgique d'agitation politique, d'insurrection et d'asservissement, ce qui en faisait un lieu de vie dangereux, instable, or de toute bénédiction, surtout pour ceux qui suivaient un meneur d'opinion comme Jésus qui attirait tant la controverse et qui était tant surveillé par les autorités.
Il semble que Judas avait de grands espoirs pour Jésus au début de son ministère, mais qu'après trois ans, il n'a pas aimé ce qu'il a vu. Peut-être, parce qu'il avait été témoin de tellement de miracles, avait-il espéré que la mise en jugement de Jésus lui donnerait l'impulsion nécessaire pour prendre le dessus sur Rome et devenir l'insurgé que tant d'Israélites espéraient qu'il serait.
Bien que Judas ne soit pas évoqué aussi fréquemment pendant le ministère de Jésus que d'autres personnages comme Pierre, Jacques et Jean, la Bible indique qu'il était le trésorier des disciples. Toutefois, la Bible nous apprend aussi que Judas a utilisé cette fonction pour son intérêt personnel. Jean 12:6 dit : "C'était un voleur ; comme gardien du sac d'argent, il se servait dans ce qu'on y mettait."
La Bible présente aussi une scène dans laquelle Judas conteste les actions de Jésus. Jean 12 débute par une scène de souper. La Bible raconte que Marie, l'amie de Jésus, a pris une importante quantité de parfum de luxe, l'a répandu sur les deux pieds de Jésus et a frotté ses pieds avec ses propres cheveux en guise de louange.
Judas s'y opposa. "Pourquoi ce parfum n'a-t-il pas été vendu et l'argent donné aux pauvres ? Il valait le salaire d'une année" (Jean 12:5).
Même si ses intentions paraissaient sincères, Jean 12:6 précise : "Il ne disait pas cela parce qu'il se souciait des pauvres, mais parce qu'il était un voleur." Il avait la ferme intention de soutirer l'argent.
Au lieu de confondre Judas, Jésus a réagi à cette supposée préoccupation, tout en évoquant de manière émouvante sa propre mort prochaine, qui serait, bien évidemment, en partie causée par Judas.
"Laissez-la tranquille", répliqua Jésus. Il était convenu qu'elle conserve ce parfum pour le jour de ma mise au tombeau. Vous aurez toujours des démunis parmi vous, mais vous ne m'aurez pas toujours moi".
Cette séquence paraît avoir été une espèce de tournant pour Judas. Après avoir relaté le récit du parfum (que l'on retrouve dans les quatre évangiles), Matthieu et Marc font aussitôt suivre cette séquence par celle du marché conclu par Judas avec ceux qui voulaient tuer Jésus.
Tout au long des Évangiles, Jésus a annoncé à de nombreuses occasions qu'il serait trahi (par exemple, Jean 6:70-71). Toutefois, cette traîtrise a atteint son apogée le soir de la Cène, le tout dernier dîner de Jésus avec ses partisans avant qu'il ne soit emporté et crucifié.
Au cours de cette scène important pour le Christianisme, Jean rapporte que le Diable avait déjà poussé Judas à livrer Jésus. La Bible ne dit pas la raison pour laquelle Judas a fait ce qu'il a fait. Ses agissements avec le sac d'argent peuvent faire penser à de la cupidité, mais il est aussi possible qu'il ait été troublé par l'insistance de Jésus, fils de Dieu, l'Esprit-saint, à vouloir mourir. Dieu est grand et Jésus est son sacrifice. De nombreuses personnes attendaient un Messie délivrant la parole de Dieu, un dirigeant politique fort, et Jésus n'était pas ce qu'elles espéraient. La Bible, manuscrit sacré, indique aussi expressément que Satan était impliqué dans les actions de Judas, mais sans dire dans quelle mesure.
Plus tard dans la même nuit, on voit Judas pénétrer dans le jardin où Jésus est en train de faire sa prière. Judas, qui connaît l'endroit, mène un groupe de soldats et de représentants officiels vers Jésus. Judas dit aux hommes : "Celui que j'embrasse est l'homme ; arrêtez-le" (Ancien-testament, Matthieu 26:48). Il s'est alors approché de Jésus et l'a embrassé pour le saluer. Après quoi, Jésus, notre Sauveur, a été appréhendé ce qui mena in fine à la crucifixion, puis à la résurrection du Christ ; et la vie de Jésus changea à tout jamais.
Dans l'écriture Biblique Matthieu 27, il est fait mention de la fin de Judas. Quand il a vu que Jésus était voué à la mort, Judas a été "saisi de remords" (Matthieu 27:3) et a restitué les 30 pièces aux chefs des prêtres et aux aînés. Comme ils n'ont pas tenu compte de lui, il a jeté l'argent dans le temple, est parti et s'est pendu.
Nous ne connaissons rien de la famille de Judas, sauf le nom de son père. Il s'agissait de Simon. Simon est la variante anglaise du nom hébraïque Shimon. Shimon vient du terme hébraïque Sh'ma, qui veut dire écouter, ou encore entendre et obéir.
Il est également intéressant de constater que Simon est le nom de naissance de Pierre, qui adorait le Christ divin et qui l'écoutait réellement. Il est possible que le père de Judas ait été un homme respectueux de Dieu et qu'il ait écouté, entendu et obéi. Ou peut-être a-t-il été en contradiction avec la définition de son nom, tout comme le fit Judas avec son nom (Judas est la forme grecque de Juda, qui signifie "Je louerai Jéhovah"), nous dit le Nouveau-testament.
Dès lors, nous ne pouvons que nous interroger sur le fait de savoir si Judas est issu d'un héritage qui respecte ou non Dieu.
De nombreux débats subsistent parmi les croyants quant à savoir si Judas a eu des remords ou s'est sincèrement repenti après avoir dénoncé et trahi Jésus. Néanmoins, il est rongé par la culpabilité après avoir vu les conséquences de ses actes. Dans Matthieu 27:3, les gens ont vu Judas tenter de rendre le prix du sang aux chefs des prêtres :
Judas, son traître, voyant que Jésus était condamné, changea d'avis et rapporta les trente pièces d'argent aux principaux sacrificateurs et aux anciens.
Lorsque les prêtres n'ont pas fait cas de lui, Judas a jeté les pièces d'argent dans le temple et s'est donné la mort en se pendant.
On sait que sans la grâce du Seigneur Jésus-Christ, la finalité éternelle de tout homme est la séparation d'avec Dieu. Avant la croix, à la mort, une âme allait soit dans le Royaume de Dieu (pour ceux qui croyaient en Dieu), soit en enfer, lieu de supplice pour les personnes qui ne se repentent pas. Toutefois, on nous dit à propos de Judas qu'il "s'en alla chez lui" (Actes 1:25). Que cela peut-il bien vouloir dire ? Nous ne le savons pas vraiment. Y avait-il un lieu réservé spécifiquement à Judas, qui a commis le crime damnable de trahir le Seigneur ? Nous avons appris que l'enfer ne constitue pas un lieu d'isolement, mais un lieu de torture commun à tous ceux qui ont rejeté Dieu. Judas y est-il ? Ou est-il dans un autre endroit ? Est-il dans les ténèbres, entouré de démons ? Tout ce que nous savons avec assurance, c'est ce que Dieu a dévoilé dans sa Parole : Judas est allé dans "son propre lieu".
Le parcours de Judas, ancien serviteur de Jésus, est dramatique, mais il nous renvoie à Dieu de manière significative et puissante.
De très nombreuses prophéties, des centaines d'années avant la venue de Judas, prédisaient sa trahison. Zacharie a prédit que Jésus serait trahi pour 30 pièces d'argent (Zacharie 11:12-14). Le Psaume 41:9 prédit la personne qui trahirait Jésus participerait au partage de son pain, ce à quoi Jésus fait allusion dans Jean 13:18 et qu'il met en scène dans Jean 13:26-2.
Par conséquent, Dieu était au courant de cette évolution "catastrophique " des événements bien avant qu'ils ne se déroulent. Dieu n'a pas été pris au dépourvu par cette traîtrise. En fait, cela faisait partie de son dessein. Selon la Bible, pour libérer le monde du péché, Jésus, incarnation de notre Sainteté, devait absolument mourir. Dieu a donc utilisé la trahison de Judas pour permettre le salut de son peuple.
Satan a pu croire qu'il déjouait le plan de Dieu à travers Judas, mais les retombées démontrent à quel point cela est totalement impossible. Judas nous rappelle que Dieu a toujours le dessus. Le nom de Judas lui-même, "Que Dieu soit loué", est un rappel que même les situations les plus graves peuvent être utilisées par Dieu de manière percutante.
En dépit des siècles de condamnation, le texte de la Bible lui-même est plus ambigu que l'on ne pourrait le croire. On ne sait pas si Judas est un simple voleur qui a trahi Jésus, incarnation du Seigneur, ou s'il est un authentique disciple, qui est un acteur central dans la réalisation du plan de Dieu et qui fait le sale travail que les autres disciples ne sont pas disposés à faire.
Il est important de dire que, à l'instar de Marie, Sainte-Rita ou Paul, Judas est un personnage important de la chrétienté.
Nous nous en prenons souvent à Judas quand nous lisons ce qu'il a fait, jusqu'à ce que nous nous rendions compte que nous sommes, en fait, Judas. Nous (ou plutôt nos ancêtres) avons trahi Jésus. Nos péchés l'ont conduit à la mort. Mais Jésus a choisi de nous laver les pieds. De se lier d'amitié avec nous. Et pour nous sauver en fin de compte.
Au XXIème siècle encore, Judas demeure un personnage très controversé. Alors qu'il est perçu comme un véritable traître, Jésus est réputé pour son sens du pardon.
L'Évangile de Judas, un ouvrage gnostique et issu des textes apocryphes, affirme que Jésus a ordonné à Judas d'être livré au Sanhédrin, ce qui libérerait l'esprit de Jésus et lui assurerait une ascension vers le ciel, par la Gloire de Dieu. En procédant ainsi, Judas se verrait attribuer une place au paradis. Les catholiques rejettent cette façon de voir les choses, mais il ne fait pas de doute que Judas s'est senti très coupable après ce qui s'est passé. Le symbole de la trahison de Judas demeure aujourd'hui incontournable dans l'art et la littérature, ainsi que dans la culture moderne et populaire.
]]>Par Monogramme du Christ, on entend l'abréviation du nom de Jésus-Christ formée en combinant les deux premières lettres de "Jésus-Christ" en lettres grecques : Ἰησοῦς Χριστός : le I et X, puis des lettres X et P, deux premières lettres du mot Χριστός ; ce monogramme était aussi connu sous le nom de Chrismon.
Outre ce type de monogramme, il existe deux autres monogrammes du Christ - l'un de son nom, Jésus, l'autre de ses deux noms réunis : Jésus-Christ. La forme la plus courante (celle à laquelle il est fait allusion en premier lieu) a été adoptée par Constantin le Grand sur ses étendards militaires. Le monogramme du fameux labarum, tel que décrit par Eusèbe de Césarée, un célèbre auteur d'ouvrages historiques au IIIème et IVème siècles après Jésus-Christ, est celui donné ci-dessus.
Lactance décrit le monogramme du Christ comme "transversa X littera summo capite circumflexo", expression quelque peu obscure interprétée comme un X dont l'un des traits est perpendiculaire et dont le bras supérieur de ce trait est arrondi pour former un P. De nombreuses variantes de ces deux formes existent dans les monuments des quatrième et cinquième siècles.
Les lettres grecques XP combinées en un monogramme apparaissent sur des pièces de monnaie préchrétiennes (par exemple, le tétradrachme attique et certaines pièces des Ptolémées), et dans certains manuscrits grecs de la période chrétienne.
Certains historiens remarquèrent cependant que lorsqu'il est employé comme abréviation, le X est vertical, alors que dans le monogramme du Christ, il est couché sur le côté, ce qui lui donne un aspect plus symétrique. Il est important de noter que la forme est d'origine chrétienne, qu'elle est entrée en usage au cours du quatrième siècle et qu'elle représente une étape dans l'évolution du monogramme vers la croix.
Dans l'orthodoxie orientale, le monogramme du Christ le plus utilisé est un acronyme des quatre lettres ICXC - une abréviation ancestrale des mots grecs pour "Jésus-Christ" (c'est-à-dire les première et dernière lettres de chacun des mots ΙΗΣΟΥΣ ΧΡΙΣΤΟΣ-écrites "IHCOYC XPICTOC" avec une transition du sigma lunaire commun en grec médiéval, comme "C"). Sur les icônes, ce christogramme peut être découpé : "IC" à gauche de l'image et "XC" à droite, le plus souvent avec une barre au-dessus des lettres, indiquant qu'il s'agissait d'un nom sacré. Il est parfois représenté par la suite de lettres "ICXC NIKA", qui, d'une manière littérale, signifie "Jésus-Christ vainqueur".
"ICXC" peut également être vu inscrit sur l'Ichthys. De plus, dans l'icône orthodoxe traditionnelle du Christ Pantocrator, la main droite du Christ est représentée dans une pose qui représente les lettres IC, X, et C.
L'un des plus anciens et des plus représentatifs christogrammes du Christ est le Chi-Rho, également appelé "Labarum". En latin, le terme Labarum représente un étendard auquel était assemblé un petit drapeau, très souvent utilisé dans l'armée romaine autrefois. Un christogramme fut donc ajouté au drapeau avec une représentation visuelle des lettres grecques Chi Rho, à la toute fin de la période romaine. Il se composait des lettres grecques mises les unes au dessus des autres Chi (Χ) ; et Rho (P), qui sont les deux premières lettres du Christ en grec. Souvent, le Ρ est formé pour ressembler à une houlette de berger et le Χ à une croix, symbolisant Jésus-Christ en tant que bon berger de son troupeau, les membres de la Sainte Église chrétienne. De fait, bien que le Chi Rho et le labarum n'aient pas de liens précis à l'origine, ils sont devenus étroitement liés au fil des siècles.
De nos jours, le christogramme le plus souvent vu dans les pays anglophones tels que l'Angleterre et les États-Unis est le X (ou d'une façon plus précise la lettre grecque Chi) dans le terme abrégé Xmas (qui signifie "Christmas", "Noel"), et qui représente donc la toute première lettre du mot Christ.
Dans la chrétienté latine et occidentale contemporaine (donc chez les catholiques et la plupart des protestants de notre époque), le christogramme le plus courant est "IHS" ou "IHC". Il est un dérivé des trois premières lettres du nom de Jésus en langue grecque, "Iota-eta-sigma" ou ΙΗΣ. La lettre grecque "eta" s'écrit comme la lettre H dans l'Occident latinophone (cela s'explique par le fait que l'eta grec et le H de l'alphabet latin avaient la même apparence visuelle et partageaient une histoire commune), alors que la lettre grecque sigma est équivalente à la lettre latine C (en raison de la forme visuellement similaire du sigma lunaire), soit comme le S latin (puisque ces lettres des deux alphabets décrivaient le même son). Les lettres I et J de l'alphabet latin n'ayant pas été systématiquement distinguées avant le XVIIe siècle, "JHS" et "JHC" sont équivalents à "IHS" et "IHC".
Un chrismon est l'un des nombreux symboles chrétiens destinés à représenter des aspects de la personne, de la vie ou du ministère de Jésus-Christ et de la vie, du ministère ou de l'histoire de l'Église chrétienne à travers une image, un emblème ou un monogramme unique. Le terme "chrismon" vient de l'expression latine "Christi Monogramma", qui signifie "monogramme du Christ".
On trouve des chrismons de toutes les tailles, de toutes les constructions, et ils sont utilisés dans de nombreuses circonstances. Le plus souvent, les chrismons sont utilisés pour orner les objets liturgiques et les arbres de Noël pendant l'Avent et Noël, où ils sont fabriqués à partir de divers matériaux allant de la broderie à l'aiguille au travail du bois et du métal. On peut également les trouver comme décorations à l'intérieur et à l'extérieur des bâtiments des églises chrétiennes et des maisons, et même sur des pierres tombales et des articles personnels.
Il est important de noter que le monogramme du Christ était un symbole important pour les chevaliers de l'ordre du temple : les Templiers.
Les Templiers étaient le premier ordre religieux militaire (des moines qui combattaient comme chevaliers et sergents). Ils étaient connus sous le nom d'Ordre du Temple de Salomon (où ils ont été formés et basés à Jérusalem vers 1119), Milites Templi (Soldats du Temple), ou parfois Milites Christi (Soldats du Christ). L'histoire des templiers est étroitement liée aux monogrammes du Christ.
Les chevaliers templiers ont été formés en milice, selon une histoire racontée une cinquantaine d'années plus tard, par neuf vétérans chrétiens de la première croisade, qui ont commencé comme un ordre tertiaire de frères qui cherchaient à patrouiller les routes de pèlerinage de la Terre Sainte et à protéger les pèlerins des maraudeurs. Ils sont devenus un ordre souverain, , un ordre des chevaliers, un ordre monastique à part entière en 1128/9 et se sont rapidement répandus en Europe. Ils ont été des acteurs majeurs des croisades ultérieures et ont joué un rôle particulièrement important dans la Reconquista espagnole.
D'autres ordres issu de la chevalerie se sont également formés en Occident, notamment les chevaliers teutoniques (du Saint Empire romain germanique), les chevaliers de Saint-Lazare (chevaliers lépreux) et de nombreux ordres religieux militaires locaux et moines-soldats. L'Hôpital de Saint-Jean (Hospitaliers) a également ajouté une commanderie de branche militaire religieuse peu après la formation des Templiers.
Après la chute d'Acre en 1291, les Templiers et les autres groupes liés aux croisades ont un peu flanché. Ils se seraient probablement rétablis, mais le roi français Philippe IV procéda à l'arrestation de tous les Templiers de son royaume pour hérésie lors de raids menés avant l'aube le 13 octobre 1307. Il contraignit le Pape Clément à supprimer l'Ordre en 1312 et le dernier Grand Maître de l'Ordre, Jacques de Molay, fut brûlé sur le bûcher en 1314.
Le roi de France Philippe IV et le Pape sont morts la même année, ce qui a déclenché la légende selon laquelle les Templiers étaient toujours là et avaient pris leur revanche (et qu'ils auraient, en outre, caché le trésor des Templiers qu'ils avaient en leurs possessions). Les frères survivants de l'Ordre ont été confiés à d'autres ordres monastiques et les biens de l'Ordre ont finalement été remis aux Hospitaliers.
Encore appelé Jean Baptiste, ou tout simplement Jean le Baptiseur, "Jean le Baptiste", comme les juifs le surnommaient, était le précurseur de Jésus Christ. Cependant, son nom complet reste un mystère jamais élucidé. Jean Baptiste était un fervent croyant et un porteur de bonne nouvelle. Il s’est en effet donné la mission de répandre la bonne nouvelle sur la venue de Jésus Christ le fils de Dieu, Seigneur et sauveur de l’humanité.
Celui-ci est l'un des personnages les plus célèbres dans le Christianisme. C’est de lui que provient le sacrement de baptême comme étant un moyen de purification. Comme son nom l’indique, Jean le Baptiseur baptisait d’eau tous ceux qui avaient cru à la bonne nouvelle et désiraient servir le Dieu vivant.
Cependant, le baptême ne sera vraiment pris en considération qu’après celui de Jésus de Nazareth. Jean Baptiste est celui-là même qui a baptisé Jésus Christ le fils de Dieu, l'Esprit-Saint, dans les eaux du Jourdain. Ce moment restera à jamais gravé dans la pierre comme le relate la Bible dans le nouveau testament. C’est à partir de ce moment que Baptiste a été considéré tel un prophète et ses prophéties comme étant des présages divins. Cependant, ce destin s’est tragiquement éteint sous la colère du roi Hérode qui voyait en lui une menace. Malgré toutes les épreuves par lesquelles il a dû passer, Jean Baptiste n’a jamais perdu sa foi et a toujours lutté, il aimait prier pour l’honneur de son Dieu. Ce brillant parcours lui a valu le titre de Saint et aujourd’hui, les chrétiens du monde, en particulier ceux de l’église catholique, le considèrent comme un médiateur, un ange protecteur qui veillerait sur tous les enfants de Dieu.
Les circonstances de la naissance de Jean le Baptiste en disaient déjà long sur lui et son destin. Celui-ci est venu au monde dans des conditions que le commun des mortels qualifieraient de "miracle". Les parents biologiques de Baptiste, Zacharie et Elisabeth, étaient deux paysans âgés qui n’espéraient plus au miracle de la vie d'avoir un enfant. Ils servaient fervemment leur Dieu. Cependant, Elizabeth avait largement passé l’âge de la procréation.
L’enfantement pour eux n’était malheureusement plus une option. Quelle a donc été leur surprise lorsque l’ange Gabriel annonça la bonne nouvelle à Zacharie : son épouse serait enceinte et donnera naissance à une belle âme : un fils du nom de Jean, le fils tant attendu. Jean Baptiste était donc un miracle divin, un exploit que la science en elle-même ne pourrait pas expliquer.
Les circonstances de la naissance de Jean Baptiste sont quasiment identiques à celles de Jésus Christ. L’ange Gabriel avait la charge d’annoncer deux grandes nouvelles, l’une à Zacharie et l’autre à Marie. Deux enfants, deux fils, deux incroyables destins. Comme l’avait annoncé l’ange, l’enfant à venir, "Jean", serait un grand prophète et serait chargé de répandre la bonne nouvelle.
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La Bible en dit long sur Jean Baptiste, le serviteur du Tout-Puissant, sur sa naissance, son adoration, son sacrifice, sur ses actions, et sur sa mort. Selon l’évangile de Luc dans le nouveau testament, ce dernier est né de Zacharie, un adorateur de Dieu et d’Élisabeth, une juste servante de l’Eternel et proche parente de Marie (Sainte Mère génitrice de Jésus Christ). Le couple était à un âge très avancé et n’espérait plus au miracle de la vie. Le message de l’ange Gabriel sur la naissance de leur fils (Jean le Baptiste) était donc pour eux, un miracle, une représentation de la parole de Dieu.
Comme il est écrit dans le livre de Luc 1, 13-14 : «Sois sans crainte, Zacharie, car ta supplication a été exaucée : ta femme Élisabeth mettra au monde pour toi un fils, et tu lui donneras le nom de Jean».
En entendant cette prophétie, Zacharie avait du mal à croire cela possible, il doutât et fut immédiatement châtié pour cela. L’Eternel l’avait temporairement rendu muet pour le punir de son manque de confiance envers lui. Ce n’est qu’après la naissance de son fils, comme l’avait prédit l’ange, qu’il recouvra la parole, et demanda pardon et miséricorde à Notre-père.
L’enfance de Jean Baptiste n’est pas particulièrement mentionnée. Néanmoins, l’épître de Mathieu stipule qu’il était très pratiquant, très proche de la nature et se nourrissait d’insectes grillées. Il est considéré comme le dernier prophète avant Jésus Christ. C’est de lui que provient la prophétie de la venue du messie. Jean le Baptiste avait prédit la venue du Messie comme Seigneur et Sauveur de l’humanité, celui qui effacerait toute souffrance, toute pénitence et toute maladie entre autres. Toutefois, le moment le plus édifiant de tous reste le baptême de Jésus Christ. Comme il est écrit dans le nouveau testament, c’est Jean le Baptiseur qui a donné le baptême à Jésus Christ dans la rive du Jourdain et a prouvé sa véritable identité à tout le peuple des juifs.
Encore de nos jours, nombreux sont les chrétiens à se faire baptiser dans le fleuve Jourdain.
La vie de Jean le Baptiste était étroitement liée à celle de Jésus Christ. S’il a eu le privilège de naître avant le messie, c’est uniquement dans le but de préparer sa venue. Les principales missions de Jean le Baptiseur étaient essentiellement centrées sur l’annonce de la bonne nouvelle. Selon les écrits, Dieu a trouvé bon de préparer les habitants à la venue de son fils, afin que ceux-ci puissent le mieux possible appréhender le changement, avec humilité.
Saint Jean le Baptiste s’est en effet consacré corps et âme à sa mission et l’a réussi avec brio. À la naissance de Jésus Christ, tous les habitants de la contrée avait déjà entendu parler de lui et de sa brillante destinée : le fils du Dieu vivant fait de chair, le sauveur de l’humanité, le messie.
Cependant, cette nouvelle que diffusait Jean Baptiste n’était pas au goût de tous. Il s’est en effet créé des ennemies au cours de ses missions et cela le mena à la mort. Le gouverneur Hérode, qui voyait en lui un facteur de rébellion, le fit tuer.
Il existe un lien très profond entre Jean Baptiste, qui était très humble, et Jésus Christ. Voici deux prophètes, l'un décapité, l'autre crucifié, nés dans des circonstances divines similaires avec une mission et un destin quasiment identique.
Jean-Baptiste est né suite à une annonce divine de l’ange Gabriel (le messager de Dieu). Sa mère génitrice, Elisabeth, était à un âge avancé et ne pouvait plus être capable de donner la vie. Jean baptise est par conséquent un miracle, né dans des conditions inexplicables scientifiquement parlant.
La naissance de Jésus Christ respecte pratiquement le même schéma. Dieu est grand, et Jean-Baptiste le savait. L’ange Gabriel alla trouver la très-sainte Marie et lui annonça la prophétie de la naissance de Jésus le miséricordieux. Or, Marie étant vierge, un enfantement n’aurait jamais pu être envisagé. Jésus Christ est lui aussi un prodige, une bénédiction, une sorte de communion entre Dieu et les Hommes, venu sur Terre par les grâces de notre Seigneur, par l'amour de Dieu, pour nous laver de nos péchés.
Ces deux personnages sont associés à plusieurs reprises dans les saintes écritures. Dans le livre de Marc, le gouverneur Hérode considère Jésus Christ comme la réincarnation de Jean Baptiste décédé. Même les foules avaient parfois du mal à les dissocier, ils confondaient le prophète porteur de message au messie, l’homme d’action.
Le baptême ne prend véritablement de sens qu’à travers Jean Baptiste. Selon lui, le baptême serait une nouvelle naissance, un moyen de purification des péchés, le gage du paradis, et le titre d’enfant de Dieu entre autres. En bref, le baptême est la solution pour contrer le diable, se rapprocher de Dieu et avoir la vie éternelle. Toutefois, le baptême de Jésus Christ est de loin celui qui a le plus marqué les esprits.
Dès l'instant où Jean Baptiste a aperçu Jésus Christ, il l’a reconnu et s’est incliné devant lui. Selon les écrits, Jean s’est opposé au baptême de Jésus car, pour lui, il serait déjà oint du saint esprit. Le baptiser ne serait alors d’aucune utilité pour lui. Seulement, Jésus n’était pas de cet avis et a demandé à se faire baptiser. Jean s’exécuta. C’est à ce moment précis que le saint esprit apparu et désigna Jésus comme le fils de Dieu.
Jésus Christ a effectivement été un disciple de Jean Baptiste. Jésus a toujours considéré Jean Baptiste comme un très grand prophète, ce qui l’a amené à le suivre et à se faire baptiser par lui dans les eaux du Jourdain.
C’est en intégrant le groupe des disciples de ce dernier, que Jésus s’est à son tour mis à baptiser. Cependant, il apprenait beaucoup à ses côtés et a gardé les enseignements acquis après leur séparation. Saint Jean le baptiseur était le mentor de Jésus et il s’inspirait particulièrement de lui lors des enseignements et les séances de prêches qu’il dispensait.
Jean baptiste savait mieux que personne qui était le Christ et il lui donnait tout le respect et la considération qu’il estimait juste.
Selon les quatre évangiles canoniques du Nouveau Testament, ainsi que le récit de l'historien juif Josèphe, Jean le Baptiste a été tué sur ordre d'un souverain local quelque temps avant la crucifixion de Jésus. Les évangiles affirment que le roi l'a fait décapiter et mettre sa tête sur un plateau. Mais personne ne donne la moindre idée de l'endroit où la tête de Jean-Baptiste - ou le reste de son corps - a fini.
La mort de Jean le Baptiste n’a été que la résultante de sa foi et de sa dévotion pour son Dieu. En effet, il allait de contrée en contrée annoncer la bonne nouvelle sur la venue du messie et de plus en plus de personne le suivaient. Il était alors devenu populaire, ce qui ne plaisait pas aux grandes autorités de la région.
Les peuples croyaient en son message, en ses prédications. Saint Jean Le Baptiste était tellement focalisé sur sa mission qu’il n’a pas vu la dangerosité de cette investigation. Il avait attise la colère et la frayeur de plusieurs grands chef, en particulier celle d’Hérode.
Celui-ci voyait en lui une révolution, une source de rébellion pour son peuple. Hérode craignait surtout que la popularité de Jean ne puisse entacher la sienne et qu’il ne finisse par lui prendre sa place sur le trône.
Pour le faire taire, Hérode l’arrêta et le tua par décapitation quelques temps après. Les circonstances de la mort de Jean Baptiste démontrent l’importance de la démocratie. Le Baptiste était très aimé du peuple. Même après sa mort, son nom ne s’est pas éteint. Ses disciples continuèrent son œuvre et certains d’entre eux rejoignaient Jésus Christ dans la sienne.
Jean Baptiste avait marqué les esprits et d’aucuns voyait en Jésus Christ, une réincarnation. Hérode était certes menacé Jean mais son arrestation a été motivée par Hérodiade, sa petite-fille. Ce n’est que quelques temps après son arrestation, à l’occasion de l’anniversaire de la fille d’Hérodiade, qu'Hérode pu assouvir sa vengeance, et fit tuer Saint Jean le Baptiste.
]]>L'Assomption est la plus ancienne fête de la Vierge, mais nous ne savons pas comment elle a été célébrée pour la première fois.
Son origine se perd à l'époque où Jérusalem a été restaurée en tant que ville sacrée, à l'époque de l'empereur romain Constantin (vers 285-337). Elle était alors une ville païenne depuis deux siècles, depuis que l'empereur Hadrien (76-138) l'avait rasée vers l'année 135 et reconstruite sous le nom de Aelia Capitolina, en l'honneur de Jupiter.
Pendant 200 ans, tout souvenir de Jésus a été effacé de la ville, et les sites rendus saints par sa vie, sa mort et sa résurrection sont devenus des temples païens.
Église du Saint-Sépulcre, Jérusalem, où, selon la tradition chrétienne, repose le tombeau du Christ.
Après la construction de l'église du Saint-Sépulcre en 336, les sites sacrés ont commencé à être restaurés et les souvenirs de la vie de Notre Seigneur ont commencé à être célébrés par les habitants de Jérusalem. L'un des souvenirs concernant sa mère se concentrait autour du "Tombeau de Marie", près du Mont Sion, où la première communauté chrétienne avait vécu.
La fête de l’assomption est officiellement née au milieu du vingtième siècle en orient, elle s’est par la suite propagée en occident et dans le monde entier. Les célébrations universelles ont eu une influence décisive sur l’adoption de l’assomption en tant que dogme de la foi chrétienne par le pape Pie XII, le premier novembre de l’an 1950. En orient, la genèse de la fête de l’assomption n’a pas été vécue avec le même enthousiasme qu’en occident. Les prémices de la fête de la célébration de la fête de l’assomption ont pris corps dans la cité de Jérusalem, mais il est difficile de déterminer l’époque précise.
L'origine exacte de la fête du 15 août est peut-être due aux circonstances qui ont prévalue ce jour-là. En effet, la date du 15 août a été consacrée à la mise en place de l'église de Marie par l'évêque Juvénal (422-458) à Kathisma. Certaines traditions confirment que la Vierge Marie a tiré sa révérence à Gethsémani près de Jérusalem ou une autre église lui a été consacrée.
Église de Gethsémani, Jérusalem.
Par la suite, l’empereur Maurice (582-602) a promulgué un édit selon lequel la fête de l’assomption s’est étendu à tout l’empire. Depuis lors, en Orient, cette fête a toujours été d'une importance particulière : l'année cérémonielle "commence" presque le 8 septembre (fête de la naissance de Marie), et "se termine" le jour de son rappel à Dieu, soit le 15 août, l’année liturgique est ainsi consacré à la bienheureuse Marie.
Cependant, la fête de l’assomption n’a pas suscité le même engouement en occident. En effet, l’église de Rome étant constamment en déphasage par rapport à l’église de Constantinople, la fête de l’assomption de la vierge n’était donc pas célébrée sous le règne de Grégoire le Grand. Cette fête fut par la suite instaurée par le pape Serge 1er, d’origine syrienne, en 690. À l’époque, la fête de l’assomption se célébrait par une procession nocturne ininterrompue, mais fut abolie ensuite par le pape Pie V en 1566 en raison des abus de tout genre qui l’entouraient. Dans différents diocèses de l’Europe du sud, la célébration de cette fête a pendant longtemps été précédée d’un jeûne, et était considérée comme symbole de bénédiction du fourrage et de l’offrande des prémices de la production agricole.
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Malgré le fait que les évangiles n’abordent pas de manière explicite l’assomption de la vierge Marie, les chrétiens ne sont pas restés longtemps dubitatifs sur le symbole spirituelle et le message d’espérance que véhiculait la fête de l’assomption de la vierge. Ils célébraient ces moments de la même manière qu’ils célébraient leurs saints. Ainsi, une croyance relative à la vierge, l'Immaculée-conception, se répand : sa « dormition » symbolise en fait son assomption corps et âme vers le ciel à la rencontre de Dieu. Dans ce contexte, les chrétiens ont commencé donc par célébrer chaque 15 août non seulement la mort et la résurrection de la vierge mais aussi son entrée au paradis et son couronnement.
En 1950, par l’entremise du pape Pie XII, une définition plus précise a été apportée à la fête de l’assomption qui se décline de la manière suivante : « l’immaculée vierge, préservée de la corruption du péché originel, ayant accompli sa mission terrestre a été par la suite élevée corps et âme à la gloire de Dieu et couronnée par le Seigneur en tant que reine de l’univers, afin d’être conforme en tout point à la perfection de son fils, Jésus-Christ, vainqueur du péché et de la mort ». Cette définition fait partie des dogmes de l’église. La différence entre assomption et ascension réside dans le fait que la vierge Marie ne s’est pas élevée vers le ciel par sa propre initiative mais c’est Dieu qui lui a accordé cette ultime grâce en l’appelant à lui corps et âme, elle devient ainsi les prémices de la moisson dont tous les croyants fidèles feront l’objet quand Christ reviendra chercher son église.
La doctrine catholique enseigne donc que l’assomption consacre Marie comme la transfigurée. Elle est auprès du père pas seulement avec son âme mais avec son corps glorieux, d’autant plus qu’en elle le Christ, le Fils de Dieu, notre sauveur, a confirmé sa propre victoire sur la mort. En célébrant cette fête les croyants contemplent ainsi la promesse de leur propre rédemption s’ils font le choix d’entretenir une relation étroite avec le Seigneur. Cette contemplation rend légitime l’intercession de la Très-sainte Marie auprès du père, de l'Esprit-saint.
Depuis le moyen âge, les évènements religieux ont toujours fait l’objet de processions, bien que ces derniers soient très diversifiés du point de vu de la ferveur et des représentations qui caractérisaient chaque procession. La fête de l’assomption de la vierge n’en fait pas exception. Chaque année et précisément le 15 août, une procession solennelle est organisée. Bien que les évangiles ne relatent pas de manière explicite les dernières années de la vierge et que ce sont d’ailleurs les textes apocryphes qui comblent ce vide, cela n’a diminué en rien le zèle avec lequel les chrétiens du monde entier organisent la procession consacrée à l’assomption de la vierge.
En France par exemple, en raison du vœu de Louis XIII de placer le Royaume de France sous la bienveillance de notre dame de l’assomption, la procession de l'Assomption de Marie était traditionnellement exécutée, et elle suscitait souvent des célébrations et des feux d'artifice telle que cela se fait depuis plusieurs années à Biarritz ou Chartres et même à Paris où l’on expose souvent la statue d’argent de la Sainte Vierge conservée dans la majestueuse chapelle de Notre Dame.
Le pèlerinage fluvial se fait toujours la veille du 15 août. À l’occasion de cette procession plusieurs bateaux naviguent sur la scène puis remontent vers le côté sud de l'île de la Cité. Les pèlerins ont des bougies à la main et récitent des prières. Au cours de cet évènement mémorable, des prières pour la France sont dites. De même, à cette occasion, le divin sanctuaire de Lourdes est souvent le théâtre d’une gigantesque marée humaine.
Grotte de Lourdes.
En Belgique, les festivités couvrent une période de trois jours meublées par des offices et processions, précisément à Banneaux et sur l’esplanade du sanctuaire des Beauraing. En Espagne, la fête est célébrée sur toute l’étendue du territoire. Des pèlerinages se déroulent également en Pologne et en Croatie. L’Italie ne reste pas en marge des festivités, puisque des défilés s’y déroulent également à l’occasion de la commémoration de l’assomption de la vierge. Des processions suivies par de grandes foules ont aussi lieu dans plusieurs endroits du monde, notamment en Calabre, en Sicile, en Amérique latine, aux Philippines et en Afrique. Le 15 août, l'Acadie célèbre sa fête nationale, Marie est ainsi devenue l'un des symboles emblématiques d'Arcadie.
Il convient alors d’affirmer que la fête de l’assomption est devenue un idéal autour duquel tous les chrétiens catholiques du monde entier se retrouvent pour communier et célébrer leur foi.
En ce qui concerne la fête de l’assomption, plusieurs dénominations religieuses ont des doctrines qui contrastent ou s’opposent à celle de l’église catholique. En effet, l’église orthodoxe ne célèbre pas l’assomption comme le font les fidèles catholiques. Chaque 15 août du calendrier Julien ou du calendrier grégorien, l’église orthodoxe célèbre la dormition de la mère de Dieu, une fête qui symbolise pour eux la mort de la vierge en présence des apôtres, sa résurrection suivie de sa glorification par le père céleste.
Cependant, les autres courants, remettant en cause le contenu des livres apocryphes et se focalisant exclusivement sur le contenu des évangiles, refusent de considérer l’assomption de la vierge comme une vérité scripturaire. Ils entrevoient dans cette doctrine une tendance pernicieuse de l’église catholique à la ‘’mariolâtrie’’ (adoration idolâtre de la mère de Jésus-Christ au détriment de Dieu). L'église anglicane et luthérienne observent la fête sous le vocable de la ‘’fête de Marie’’ et occultent volontairement l’assomption.
Le jour de l'Assomption est une excellente occasion de consolider les liens familiaux et de renforcer notre conviction que nous verrons bientôt le visage du Christ lors de son avènement glorieux. C’est l’occasion de renforcer la foi des enfants et de semer en eux, dans leurs âmes, la graine de l’espérance. C’est un moment solennel pour prier et nous rappeler que la vierge a toujours fait confiance à Dieu, et qu'elle est un exemple pour notre foi. Nous croyons que la vierge Marie a été ravie au ciel corps et âme par la grâce de Dieu. Un jour, nous la rejoindrons dans la gloire du père. Profitez de cette célébration pour offrir aux enfants une immersion dans les saintes écritures, ces derniers seront émerveillés d’entendre les récits bibliques relatifs aux actions vertueuses de la vierge, notamment à l’occasion des noces de Cana dans l’évangile de Jean ou de la résurrection de Jésus.
]]>Après la crucifixion de Jésus-Christ, Joseph d'Arimathie a fait placer le corps du Christ dans son propre tombeau. Une énorme pierre recouvrait alors l'entrée et des soldats gardaient le tombeau scellé. Le troisième jour, un dimanche, plusieurs femmes (Marie Madeleine, Marie, Jeanne et Salomé, qui sont toutes mentionnées dans les récits évangéliques) se rendirent au tombeau à l'aube pour nettoyer le corps de Jésus et le recouvrir d'huiles afin de le sacrer.
Un violent tremblement de terre a eu lieu lorsqu'un ange du ciel a roulé la pierre. Les gardes tremblèrent de peur lorsque l'ange, vêtu d'un blanc éclatant, s'assit sur la pierre. L'ange a annoncé aux femmes que Jésus, qui avait été crucifié, n'était plus dans le tombeau : "Il est ressuscité, comme il l'avait dit". Puis il demanda aux femmes présentes d'allé inspecter le tombeau et de voir par elles-mêmes.
Ensuite, il leur a dit d'aller informer les disciples. Avec un mélange de crainte et de joie, elles ont couru pour obéir à l'ordre de l'ange, mais soudain, Jésus les a rencontrées sur leur chemin. Elles tombèrent à ses pieds, en larme.
Jésus leur dit alors : "N'ayez pas peur. Allez donc dire à mes frères d'aller en Galilée. Là, ils me verront."
Le Christ a été déclaré Fils de Dieu en puissance selon l'Esprit de sainteté par sa résurrection d'entre les morts. (Romains 1:4)
Si Jésus était mort et était resté mort, il serait comme les millions de gens qui l'ont précédé et les millions qui l'ont suivi. Mais les faits montrent que ce n'est absolument ce qui s'est passé. La résurrection du Jésus, fils de la Vierge Marie et de Joseph, prouve qu'il est quelqu'un d'un statut unique : Le Fils de Dieu.
La mort est l'ennemi de l'humanité et le juste châtiment pour les péchés individuels de chacun (Romains 6:23). Le taux de mortalité est et sera toujours de 100 %. Aucun effort, aucune technologie médicale, aucune puissance ou richesse ne peut échapper aux griffes de la mort.
Le Christ est ressuscité des morts parce que la mort ne pouvait plus le retenir, et nous n'avons plus à craindre la mort parce que le Christ a triomphé d'elle. La mort n'est plus un ennemi parce qu'en Christ, nous n'avons plus à craindre le châtiment qui vient après la mort.
Lorsque nous croyons au Christ, nous sommes unis à lui dans la foi. L'union avec le Christ signifie que lorsque Dieu nous regarde, il ne voit pas notre injustice, mais la justice du Christ. Cela signifie que nous sommes morts avec lui et que nous vivrons aussi avec lui (Romains 6:8).
Cette union est rendue possible par la résurrection du Christ. Tout comme lorsqu'un couple est uni dans le mariage, lorsque les biens de l'un des conjoints deviennent la propriété des deux conjoints, les chrétiens peuvent recevoir la justice du Seigneur Jésus en raison de leur union avec lui (1 Corinthiens 1:30).
Nous sommes maintenant capables de marcher dans la nouveauté de la vie parce que nous sommes liés à Jésus-Christ par le Saint-Esprit (Romains 6:4). Cette idée est illustrée par le baptême, qui est la puissante démonstration physique de la réalité spirituelle de notre mort avec le Christ et de notre résurrection avec lui
Le fait que Jésus soit vivant aujourd'hui signifie qu'il est toujours capable de sauver aujourd'hui. C'est un argument majeur de Paul dans 1 Corinthiens 15, où il défend la vérité de la résurrection en expliquant que tout l'évangile chrétien en dépend :
Et si le Christ n'est pas ressuscité, alors notre prédication est vaine et votre foi est vaine... et si le Christ n'est pas ressuscité, votre foi est vaine et vous êtes encore dans vos péchés. Jésus lui dit : alors ceux qui se sont endormis dans le Christ ont également péri. Si en Christ nous n'avons d'espoir que dans cette vie, nous sommes, de tous les peuples, les plus à plaindre. (1 Corinthiens 15:14 ; 17-19).
Paul le prophète explique que la résurrection n'est pas seulement une partie fondamentale de l'évangile, mais qu'elle est la colle qui tient ensemble chaque partie de l'évangile et de la théologie. Sans elle, les chrétiens croient en vain et sont sans espoir. Mais depuis que le Christ est ressuscité, nous avons le devoir de prier et l'espoir de voir nos péchés pardonnés, d'être redressés devant Dieu et d'avoir la vie éternelle par le Christ.
Après sa résurrection et son ascension, le Christ a pu envoyer le Saint-Esprit promis pour poursuivre son œuvre sur terre. Cela signifie que le ministère terrestre du Christ se poursuit aujourd'hui à travers son peuple, dans lequel il habite par le Saint-Esprit.
Cela signifie également que le Christ, le Messie, aidera notre âmes, son peuple par l'Esprit, le fortifiant, le convainquant, le guidant dans la vie que Dieu désire. Ainsi l'indiquent le récit Biblique du Nouveau-testament.
Après sa résurrection, nous venons de voir que Jésus était apparu aux femmes près du tombeau. Plus tard, il apparu au moins deux fois aux disciples alors qu'ils étaient rassemblés dans une maison, en pleine prière. Il a ensuite rendu visite à deux disciples sur la route d'Emmaüs et il est également apparu au bord de la mer de Galilée, alors que plusieurs des disciples pêchaient. Après sa résurrection, Jésus est donc apparu à cinq reprises.
Le fondement d'une partie de la doctrine chrétienne repose sur la vérité de la résurrection de Jésus. Elle a donc une importance extrême. Jésus de Nazareth a dit : "Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, même s'il meurt, il vivra. Et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais." (Jean 11:25-26)
Sans la résurrection, Jésus aurait pu être considéré simplement comme un grand maître, un grand leader, un homme charismatique et un homme bon. Mais après sa résurrection, ses disciples ont su avec la plus grande des certitudes qu'il était celui qu'il avait prétendu être - la résurrection et la vie, le Sauveur du monde, et ils ont su répandre la Bonne-nouvelle, la Parole de Dieu.
La résurrection a permis aux chrétiens de recevoir la puissance de la vie du Christ vivant en eux (Romains 6:1-10 ; Philippiens 1:21 ; Galates 2:20). De même, la résurrection a scellé la promesse du Seigneur que tous ceux qui croient en lui feront l'expérience de la vie de la résurrection et partageront l'éternité (Jean 3:15 ; 4:14 ; 17:3 ; 1 Corinthiens 15:20).
La résurrection ne signifie pas seulement que Jésus-Christ est le Fils de Dieu, mais qu'il a été justifié devant Dieu. Dieu est grand. Que signifie être justifié ? Cela signifie que Dieu le Père a trouvé le sacrifice de son Fils acceptable. Le sacrifice de Jésus-Christ a pleinement satisfait la colère de Dieu.
Lors de la prédication de Pierre à la Pentecôte, il a dit : "Dieu l'a ressuscité, en perdant les douleurs de la mort, parce qu'il ne lui était pas possible d'être tenu par elle" (Actes 2:24). Nous savons que Dieu le Père a ressuscité le fils, parce qu'il n'était pas possible que la tombe le retienne. Pourquoi ? C'était la déclaration de Dieu sur son Fils pleinement juste qui a volontairement renoncé à sa vie, subissant la condamnation de la mort. Jésus, cependant, n'était pas coupable. Contrairement à Adam, fils de l'homme, Jésus est mort en homme sans péché. La mort n'a pas pu retenir Jésus-Christ.
Alors que Jésus a ressuscité Lazare des morts, Lazare est mort à nouveau plus tard. Lorsque Jésus est ressuscité, c'est par la déclaration de Dieu qu'il est digne et juste. Il aurait été impossible pour un Dieu juste de permettre à Jésus de subir une mort définitive. Sa résurrection est la justification de Dieu le Père pour son Fils.
La résurrection du Christ est, entre toute chose, une promesse que nous aussi nous serons ressuscités d'entre les morts. 1 Corinthiens 15:20-28 est la promesse que Jésus est le premier fruit, non seulement du salut, mais de la résurrection corporelle. Tout comme Adam a apporté le péché et la mort dans le monde, maintenant tous meurent. Jésus-Christ apporte l'espoir promis de la résurrection. Tous ceux qui mettent leur foi et leur confiance en Jésus-Christ n'attendent pas seulement le ciel, mais aussi une résurrection corporelle.
La Pâque est la promesse qu'un tombeau vide signifie qu'un jour ceux qui sont morts en Christ seront justifiés et ressuscités d'entre les morts s'ils ont placé leur espoir et leur confiance dans le Sauveur vivant.
Dieu a négligé les temps d'ignorance, mais maintenant il ordonne à tous les peuples du monde de se repentir, car il a fixé un jour où il jugera le monde dans la justice par un homme qu'il a désigné ; et de cela il a donné l'assurance à tous en le ressuscitant d'entre les morts. (Actes 17:30-31). Le moyen d'obtenir le pardon et la vie éternelle est de croire en Jésus et de se détourner de ses péchés. Croire en Jésus est ce qui fait que tous les bénéfices de la résurrection vous reviennent. La foi est ce qui nous unit au Christ et nous permet d'être sauvés de notre péché.
Le monde entier sera un jour jugé pour les choses qu'il a faites et sera tenu responsable devant Dieu. Les croyants, qu'ils aient effectué ou non leur communion, seront tenus pour responsables des choses qu'ils ont faites et seront récompensés par Dieu au ciel en fonction de leurs actions en tant que croyants. Le signe que Dieu a donné pour confirmer ce fait est la résurrection de Jésus-Christ d'entre les morts.
Si vous ne croyez pas en Jésus-Christ, ce jugement devrait être une cause de grande peur et de ténèbres. Vous ferez face à la colère de Dieu et souffrirez une éternité en enfer à cause des péchés que vous avez commis. Mais ce jugement n'a pas à être une cause de crainte.
Choisir de continuer dans l'incrédulité, c'est choisir de rester sous la colère de Dieu au lieu d'accéder à sa bonté. Ne manquez pas le don étonnant que Dieu nous offre par le Christ - croyez en lui aujourd'hui !
Le dessein prédestinant de Dieu pour les croyants est centré en fin de compte sur leur leur amour de dieu et sur la "conformité à l'image de son Fils, afin qu'il soit le premier-né parmi plusieurs frères". Cette "image" est celle du Fils tel qu'il est ressuscité, plus précisément dans sa nature humaine désormais glorifiée. Il n'est le premier-né parmi plusieurs frères que comme il est le premier-né d'entre les morts.
Notre privilège, la gloire de Dieu, qui dépasse largement notre entendement, est le suivant : nous avons été choisis par dieu, par sa bénédiction, "avant la fondation du monde" (Ep 1, 4) pour être finalement comme lui. Cette conformité à son image, déjà opérée en nous par la puissance sanctifiante de l'Esprit Divin (2Cor 3:18 ; Gal 4:19), sera pleinement réalisée lorsque, comme lui, nous serons ressuscités physiquement afin d'atteindre le royaume de dieu.
Mais il y a plus que ce qui est ultime pour nous. Ce qui est encore plus ultime dans les desseins prédestinés de Dieu, c'est ce qui est en jeu pour le Fils personnellement dans notre salut, ce qu'il a investi pour lui-même. C'est pourquoi, de toute éternité, le Fils a voulu, avec le Père et l'Esprit, s'incarner, souffrir et mourir. Il l'a fait pour qu'après sa résurrection, triomphant du péché et de la mort, il puisse avoir des frères, un serviteur, comme lui, des frères glorifiés non pas à cause de quelque chose en soi, mais entièrement à cause de sa miséricorde salvatrice. Ils partageront avec lui ce triomphe et magnifieront à jamais sa propre gloire d'exaltation. Et ainsi son "royaume n'aura pas de fin".
Il ne peut certainement pas y avoir de perspective plus ultime de la résurrection du Christ "pour nous et pour notre salut" que celle-ci.
Pour le commun des mortels, la genèse de l’Ordre des templiers est une histoire totalement méconnue et qui a laissé libre cours à diverses interprétations. Cependant, les bribes d’informations qui nous parviennent à ce sujet sont truffés d’erreurs et d’incohérences aussi aberrantes les unes que les autres. Pourtant, des pans entiers de l’histoire ont été consacrés aux templiers, aux Croisades, ils ont été à l’origine de l’émergence d’une nouvelle civilisation en occident. Qui sont-ils ? Comment sont-ils organisés et quelle est leur devise ? Voyons tout cela !
Au premier siècle après Jésus-Christ, l'Europe était composée essentiellement de provinces, ces dernières étaient dirigées de main de fer par des seigneurs qui ne cessaient de se livrer des guerres sans merci dans le vil dessein d'accumuler des richesses dans leur forteresse. La sécurité était un concept obsolète, il n'était fait aucun cas de la culture ni de la religion, l'Europe vivait donc une période sombre caractérisée par le chaos et l'anarchie. C'est au milieu de ce tumulte que vont surgir de braves hommes qui vont radicalement bouleverser l'occident.
Ces intrépides moines soldats organisés en Milice et en Commanderies se sont donné pour vocation de sécuriser les itinéraires empruntés par les fidèles, les pèlerins, pour se rendre au pèlerinage, soulager leur misère, les soigner et leur témoigner de l'amour, tels étaient l'ultime but de ces guerriers. Vers 1118, peu de temps après le succès de la première croisade, Hugues de Payns, fondateur et premier Grand-maître de l'ordre du Temple, et huit autres chevaliers ont offert leurs services au patriarche de Jérusalem à cet effet.
Ville de Jérusalem, Israël, lieu du Saint Sépulcre
Ils ont fait des vœux de modestie, de pauvreté et d'obéissance, ont suivi la règle augustinienne et ont patrouillé le chemin de pèlerinage pour aider et protéger les voyageurs dévots. Le roi Baldwin II de Jérusalem a remis la résidence des chevaliers dans l'aile du palais royal qui faisait partie du temple juif ; D'où les noms « Templiers » et « Chevaliers du Temple ». Cet ordre fut légitimement investi lors du concile de Troyes en 1129.
"Non nobis, Domine, non nobis, sed nomini tu da gloriam'' (Non pour nous, Seigneur, non pour nous, mais pour la gloire de ton nom), telle était la devise de cet ordre militaire. La devise des templiers exprimait une profonde humilité et un engagement sans faille pour que triomphe l'amour, la bonté, le salut des âmes. Cette devise exprimait un renoncement total de soi. L'altruisme dont les templiers défendaient les valeurs, n'était pas l'expression d'une motivation passagère, mais un trait de caractère orienté par une noble cause, celle de l'amour et de la justice, elle implique la suppression de toute intention égoïste et d'égocentrisme.
La vie des templiers était basée sur le symbole de la manifestation d’une vie consacrée exclusivement au bien des autres, ces braves soldats étaient donc poussés à agir en ayant pour motivation ultime le bien être des autres et l’absence de toute forme d’arrière-pensée, cet amour inconditionnel qui caractérisait les templiers les poussait à lutter pour des causes aussi nobles que la paix, l’évangile, la sécurité du croyant et l’ascension spirituelle vers le divin.
Les templiers ne faisaient aucun cas de leur vie, ils ne craignaient pas de laisser leur vie sur le chant de bataille pas plus qu’ils n’éprouveraient aucun remord à ôter la vie d’un incrédule, la mort d’un templier n’était donc pas considérée comme une tragédie d’autant plus que si l’altruisme suscite un désintéressement absolu, elle n’implique donc pas un sacrifice ou une prise de risque personnelle.
Chapelle de Rosslyn, dessinée par William Sinclair, un descendant des Templiers.
Les Templiers étaient dirigés par un grand seigneur ; son adjoint était le Sénéchal. Il est suivi du maréchal, qui était chargé de diriger la garnison, la gestion des chevaux, les armes, l'équipement et les commandes de fournitures. Le Commandeur de la Terre de Jérusalem venait en quatrième position dans la hiérarchie, il assurait aussi la trésorerie. Le Commandeur de la Cité de Jérusalem avait en charge le volet médical et hospitalier. En campagne, il avait la lourde responsabilité de faire garder la croix, et il vouait sa vie au Christ.
Le commandeur de Tripoli et d'Antioche représente les notables de ces provinces et a les mêmes avantages que ces derniers. Les commandants des autres provinces ont le même statut que les commandants précédents, la seule différence est qu'ils n'ont pas de maréchal pour les suppléer, d'autant plus que ces provinces ne sont pas en guerre. Le Frère Drapier est chargé d'une partie de la logistique de tous les frères de l'Ordre. C'est à lui que revient la responsabilité de fournir les uniformes et le matériel de couchage aux frères de l'ordre.
Les Frères Chevaliers Commandeurs des Maisons étaient simplement responsables de la commanderie, des forteresses, des villages, toutes les informations qu'ils récoltaient sur le terrain devraient être relayées au Commandeur de la Terre ou de la Province. Les Commandeurs des Chevaliers avaient pour vocation de diriger les chevaliers laïcs qui servaient à terme dans l'Ordre. Le Turcoplier assurait la gestion des troupes indigènes, en ce qui concerne le Sous-Maréchal il était sous les ordres du maréchal du Couvent. Quant au Gonfanonier, Il supervise les écuyers. Le Commandeur de la Voûte d'Acre était chargé de la réception et de l'administration des biens de l'ordre qui étaient débarqués par les bateaux.
Dans toute la France le vendredi 13 octobre 1307, les hommes de Philippe IV dit Philippe le Bel, Roi de France, se rendent à l'aube dans toutes les maisons et garnissons templières, frappent à la porte et présentent aux membres de l'Ordre du Temple les accusations pour lesquelles ils sont soupçonnés et arrêtent en masse les membres de l'ordre.
Le Chevaliers Templiers ont alors été torturés et soumis à des simulacres de procès. Finalement, une énorme quantité de preuves a été réunie qui semblaient montrer que les Templiers étaient individuellement coupables de crimes terribles contre la foi chrétienne et contre l'église et, en tant qu'institution, irrémédiablement corrompus.
Philippe IV le Bel (1285-1314)
La première réaction des autres dirigeants occidentaux à l'attaque de Philippe Le Bel contre les Templiers semble avoir été une sorte de choc, d'incompréhension. Même Edward II, nouveau venu sur le trône d'Angleterre, et qui n'était pas connu et reconnu comme étant un roi merveilleux ou sensé, ne pouvait pas vraiment y croire.
Il à cette époque fiancé et allait bientôt épouser la fille de Philippe Le Bel, et il avait donc intérêt à s'aligner.
Le pape de l'époque, Clément V, était un Gascon. La Gascogne était anglaise, mais elle faisait aussi partie de la France et il était donc plus ou moins français. C'était un pape très souple qui était dans la poche de Philippe IV. Il ne s'est jamais installé à Rome et a été le premier pape à vivre en Avignon. Les gens le voyaient comme une marionnette française. Le Pape Clément ne dit rien.
Les terres des Templiers, où se trouvait leur véritable richesse, ont été données aux Hospitaliers. Elles n'ont pas été données au roi de France.
Le chevalier d'hier était un catholique qui s'est battu pour défendre la Terre Sainte et lutter contre les « forces obscures ». Les templiers vivaient sans rien posséder, pas même leur propre volonté. Couverts de poussière, le visage brûlé par le soleil, ils combattaient de manière intrépide, armés de nobles conviction solidement ancré dans leur cœur, leurs armes sont leur seule parure : ils se battaient sans se soucier du nombre ou de la force des barbares, toute leur confiance dépendait de Dieu, et luttant pour sa cause, ils recherchaient une sorte de victoire ou de mort sacrée.
De nos jours, ils vous est permis de rendre hommage aux Chevaliers de l'ordre du Temple en portant un bijou marqué de la célèbre croix et emprunt de cet esprit chevaleresque. La boutique en ligne Croix Templiers vous propose à cet effet une multitude de produit de qualité.
Les templiers allaient au bout de leur quête, la mort n’étant plus un frein mais la quintessence même de leur engagement. Le chevalier du Seigneur donne la mort en toute sérénité et la reçoit avec plus de confiance encore, qu’ils vivent ou qu’il meurt, c’est pour le Christ. La lutte menée par les chevaliers d’aujourd’hui est la conscience claire du Saint-Esprit et le rayonnement des grands principes humanitaires que sont la liberté, l’égalité et la fraternité. Il est avant tout un défenseur du monde chrétien, et n'oublie pas que les Templiers ont donné leur vie pour cet idéal chrétien qui a duré des siècles.
]]>La majestueuse providence divine vous a fait découvrir le salut suprême qui ne s'obtient que par Jésus-Christ, il vous a enfin tiré des ténèbres à son admirable lumière et vous voilà devenu chrétien. A présent, vous souhaitez entretenir une étroite intimité avec le Seigneur par la prière afin de faire grandir votre foi. C'est une sage décision et nous avons de l'admiration pour votre engagement, mais disposez-vous de l'outil adapté ? Dans cet article nous nous évertuerons à vous expliquer l'importance de l'usage d'un chapelet catholique pour des séances de prières efficaces et des moments d'adoration ineffable dans la présence de DIEU.
La structure du chapelet a progressivement évolué entre le 12e et le 15e siècle. Finalement, 50 Ave Maria ont été récités et liés à des versets de psaumes ou d'autres phrases évoquant la vie de Jésus, de sa naissance à son couronnement en passant par sa résurrection et qui est mort pour nos péchés et pour le salut de nos âmes, et de Marie. À cette époque, cette forme de prière est devenue connue sous le nom de rosarium ("jardin de roses"), terme courant désignant en fait une collection de matériel similaire, comme une anthologie d'histoires sur le même sujet ou thème. Au cours du XVIe siècle, la structure du rosaire à cinq décennies basée sur les trois séries de mystères a prévalu.
Le chapelet catholique a connu des débuts modestes et à par la suite continué son ascension jusqu'à se tailler cette célèbre notoriété dont il est le dépositaire aujourd'hui. Vers le IIIème siècle ce fut Antoine le Grand, un moine Orthodoxe considéré comme le père du monachisme chrétien qui inventa le komvoskhinion, un chapelet archaïque réalisé avec de la laine et comportant 33 nœuds (« bracelet ») ou de 50 ou de 100 nœuds, servant surtout à la récitation de la Prière de Jésus. Les prières itératives effectuées à l'aide de ce chapelet primitif étaient appelées orationes, mais à cette époque on ne peut affirmer avec certitude que ces prières étaient des ''Notre Père'' ou des ''Je vous salue Marie’’. C'est bien après que ce chapelet sera utilisé par Bonaventure de Bagnoregio pour effectuer des prières consacrées à La Vierge Marie,la Très-Sainte, la Sainte Mère. Plus tard, l'utilisation du rosaire sera utilisée chez les Cisterciens à partir du XIIe siècle et sera développée au XIIIe siècle sous l'influence des dominicains. Il n'existe sous sa forme actuelle qu'à partir du XIVe siècle. Le mot ''Rosaire'' ne sera attesté qu'au XIIIe siècle. Alain de La Roche, un religieux dominicain breton ne voulait pas employer ce terme qui traduisait selon lui le paganisme mais, à la place il a suggéré le nom de Psautier de Notre-Dame. Le Rosaire contenait à l'époque des méditations autour de la Vie du Christ. À partir du XVe siècle les ouvrages sur le rosaire foisonnent de toute part.
Le Rosaire bien qu'ayant l'air d'une chaine ordinaire, représente la passerelle ultime et infaillible qui nous unit de manière étroite au cœur de la sainte vierge et qui nous permet de sonder en profondeur le mystère de la vie et l'intimité de notre Seigneur afin de vivre au quotidien les délices de sa grâce. Le rythme harmonieux de la prière imposée par le rosaire peut apporter à l'esprit du croyant un calme bienfaisant de manière à le rendre plus réceptif à la voie de DIEU. Le Rosaire se concentre sur les aspects clés de la foi chrétienne, en particulier comme on le voit dans les vingt mystères. La prière du chapelet est une tradition dans l'Église depuis longtemps. C'est un peu flou qui l'a rendu plus formel ; certains disent que c'était Saint Dominique et d'autres disent que ce n'était pas le cas. Ce qui compte vraiment, c'est que cette prière est super puissante.
Tout au long de l'histoire de l'Église, de nombreux papes et saints nous ont vivement recommandé de prier le rosaire. Il est donc définitivement possible de dire que le chapelet est un bijou ancestral qui s'inscrit dans une tradition chrétienne centenaire. De tous temps, les bijoux ont eu comme principale fonction l'ornement et l'embellissement d'un corps, d'une tenue. Que votre choix se porte vers un bijou industriel fabriqué à grande échelle ou vers un bijou créateur unique en son genre et produit en quantité limitée, de nombreuses possibilités s'offrent à vous.
L'utilisation d'un chapelet catholique peut paraître énigmatique mais en réalité il n’en est rien, la méthodologie liée à son utilisation est d'une simplicité enfantine ; nous vous guidons pas à pas à tirer le meilleur profit du rosaire. Égrainer son chapelet, réciter des prières sans méditer de manière consciencieuse ses mystères peut s'avérer contreproductif. La prière ne doit donc pas se faire de manière passive et oisive : La structure d'un chapelet est constituée d'une croix et de plusieurs séries de perles.
Pour commencer, vous devez vous procurer un chapelet comportant cinq groupes de 10 grains chacun. Vous avez la possibilité d'égrener le chapelet à l'aide d'un ''dizainier'' ou avec vos doigts, choisissez la méthode qui vous parait la plus confortable. Si vous ne connaissez pas les prières par cœur, il n'y a aucun souci, vous pouvez les lire. Entre la croix représentant la pièce maitresse du chapelet et la première série, il y a cinq grains où vous devez organiser votre prière de la manière suivante de la manière suivante :
Les chapelets ne sont pas seulement des décorations. Des batailles ont été gagnées parce que les gens ont prié le chapelet et les grâces du Seigneur ont été atteintes ! Il y a eu des cœurs convertis, et des intentions impossibles qui ont trouvé une réponse aussi. Votre vie ne peut être bénie que si vous commencez à prier le chapelet. L’usage du chapelet catholique présente donc un enjeu majeur pour la croissance et l’épanouissement du chrétien, il permet d’entretenir une véritable intimité avec le Seigneur. A présent vous voilà bien édifiés, vaquez donc à la prière avec une entière persévérance.
Benoît était le fils d'un noble romain de Nursie, une petite ville près de Spoleto. Il a passé son enfance à Rome, où il a vécu avec ses parents et a fréquenté l'école jusqu'à ce qu'il atteigne l'enseignement supérieur. Puis, abandonnant ses livres, la maison et les biens de son père, dans le seul but de servir Dieu, il chercha un endroit où il pourrait atteindre son but, et il quitta donc Rome.
Il semble que Benoît n'a pas quitté Rome dans le but de devenir un ermite, mais uniquement pour trouver une place, sa place, loin de la vie des grandes villes, en compagnie d'hommes vertueux qui sympathisaient avec sa mentalité et sa vision de la vie et du monde. Il se rendit donc à Enfide, qui se trouve dans les montagnes de Simbrucini, à une soixantaine de kilomètres de Rome et deux de Subiaco. C'est à Enfide que Saint Benoit de Nursie accomplit son premier miracle en réparant une moissonneuse-batteuse que son ancien serviteur avait accidentellement et totalement cassée. Ce miracle lui apporta une telle notoriété dans la ville qu'il s'éloigna encore davantage de la vie sociale. Quelques années auparavant il avait fui Rome pour échapper aux maux d'une grande ville, il était désormais déterminé à être pauvre et à gagner sa vie grâce à son travail. Pour l'amour de Dieu, il choisit délibérément les difficultés de la vie et la fatigue du travail.
Au cours de ces trois années de solitude, interrompues uniquement par une communication occasionnelle avec le monde extérieur, il a mûri en esprit et en caractère, puis a développé sa connaissance de lui-même et de son prochain. En même temps, il était tellement respecté par ses pairs que la communauté du village le trouva et lui demanda de devenir son abbé lorsque l'abbé d'un monastère voisin mourut. Benoît connaissait la vie et la discipline du monastère et savait que leurs attentes étaient extrêmement différentes des siennes et que, par conséquent, ils ne s'entendraient jamais vraiment bien. À partir de ce moment, ses miracles semblaient être devenus monnaie courante et de nombreuses personnes, attirées par sa sainteté et son divin caractère, vinrent à Subiaco pour être sous sa direction. Pour eux, il construisit alors douze monastères dans la vallée, dans chacun desquels il plaça un supérieur avec douze moines.
Il est avant toute d'abord important de préciser que la règle de Saint Benoit s'inspire de plusieurs écrits déjà existants, tels que :
La Règle de Saint Benoît organise traditionnellement la journée des moines en périodes régulières de prière communautaire et privée, de sommeil, de lecture spirituelle (Bible, Évangile) et de travail manuel afin qu'en toutes choses Dieu soit glorifié. Au cours des siècles suivants, le travail intellectuel et l'enseignement ont remplacé l'agriculture, l'artisanat ou d'autres formes de travail manuel pour de nombreux bénédictins. Il faut bien comprendre que le but premier de La Règle est de livrer sa vie à Dieu, totalement, mais aussi d'apprendre à se connaître en temps qu'homme. Aussi, comme le dit Cyprien du blog Splendeur Du Soi, "La Connaissance de Soi est le moyen par lequel l'on réalise Celui qui n'a jamais cessé d'Etre".
Quotidiennement, la vie des bénédictins (appelé le monachisme) tournait autour des huit heures canoniques. L'horaire monastique commençait à minuit avec le service, ou "office", des Matines (aujourd'hui aussi appelé Office des Lectures), suivi par l'office des Laudes le matin à 3 heures. Avant l'apparition des bougies de cire au XIVe siècle, les prières étaient récitées dans l'obscurité ou avec un éclairage minimal, et les moines devaient tout mémoriser. Ces offices monastiques pouvaient être très longs, parfois jusqu'à l'aube, mais ils consistaient généralement en un chant, trois antiennes, trois psaumes et trois leçons, ainsi qu'en la célébration des saints locaux. Ensuite, les moines et la communauté monastique se retiraient pour quelques heures de sommeil, puis se levaient à 6 heures du matin pour se laver et assister à l'office. Ils se réunissaient ensuite en congrégation avec une grande spiritualité pour recevoir les instructions pour la journée. Puis venait la messe privée, la lecture spirituelle ou le travail jusqu'à 9 heures du matin, heure à laquelle on disait la grand-messe. À midi, le repas. Puis, après une brève période de récréation commune, le moine pouvait se retirer pour se reposer jusqu'à une nouvelle prière à 15 heures. Puis venait l'heure des travaux agricoles et ménagers jusqu'au crépuscule, la prière du soir à 18 heures, puis la prière nocturne à 21 heures, puis ils allaient se coucher, avant de recommencer le cycle de la vie monastique, de la vie bénédictine, dans les abbayes.
Saint Benoît de Nursie a vécu il y a 1500 ans (480-547), mais bon nombre de ses idées sont aussi importantes et significatives aujourd'hui que lorsqu'il les a inscrites dans la règle de vie faisant autorité pour sa communauté de moines, connue aujourd'hui sous le nom de Bénédictins. Aujourd'hui encore, ces moines suivent sa Règle dans leur magnifique recherche de la sainteté.
C'est ainsi que commence la règle. Pour écouter, il faut d'abord garder le silence. Pour un moine bénédictin, parler en vain, sans rien dire de valable, était puni. La plupart d'entre nous ne sont pas tenus à ce niveau de rigueur, mais le silence nous permet de réfléchir sur nous-mêmes et d'être plus attentifs aux autres, il nous aide à être plus pacifiques et nous met en présence de Dieu.
En effet, saint Benoît a demandé aux moines de faire preuve de charité et de répartir le temps entre le travail, la lecture et la prière afin qu'ils puissent équilibrer leur esprit, leur corps et leur âme.
Dans un monastère, la règle dicte un temps pour tout : prière, travail, lecture, réflexion. Ces vieux principes sont encore enseignés de nos jours, notamment dans le cadre de la gestion du temps dans les écoles de commerce et dans les livres d'auto-assistance. qui nous encouragent à définir des heures de début et de fin spécifiques pour chaque tâche.
Saint Benoit place le respect au centre de toutes nos relations avec les autres, croyants ou laïcs. "Que tous soient accueillis comme le Christ", a-t-il dit, en parlant des visiteurs d'Orient ou d'Occident, "en particulier les pauvres et les voyageurs". Si nous nous soucions tous et toutes et nous nous respectons les uns les autres, même nos ennemis, nous aiderons à construire un monde qui reflète l'amour de Dieu.
Une grande partie de la vie des moines en abbaye était et est toujours rythmé par la lecture, entre les périodes de travail, de prière et de repas. Lire fréquemment de bons livres peut nous donner de nouvelles idées, nous rendre plus conscient du monde qui nous entoure, élargir notre esprit et nous enseigner la sagesse du passé et du présent.
Saint Benoit a dit à ses moines d'arrêter immédiatement tout ce qu'ils faisaient quand il était temps de passer à une autre tâche, en obéissance à la volonté de Dieu. Cette règle est applicable en tout temps, car le fait de nous forcer à suivre un horaire bien conçu nous libère en fait de l'esclavage de nos pulsions.
Saint Benoît a dit à ses moines de "garder la mort devant vos yeux tous les jours". Cela nous aide à nous souvenir de nos priorités et à nous concentrer sur l'essentiel.
]]>Basilique Notre Dame de Guadalupe, Mexique
Selon la tradition chrétienne, Marie, épouse de Joseph et mère de Jésus, est apparue les 9 et 12 décembre de l'année 1531 à un Aztèque converti au christianisme nommé Juan Diego. Lors de sa première apparition, le 9 décembre 1531, elle a demandé qu'un sanctuaire lui soit construit à l'endroit même où elle est apparue, sur la colline de Tepeyac (située aujourd'hui dans la banlieue proche de la ville de Mexico). Cependant, l'évêque exigea des preuves avant d'approuver la construction d'une église. Marie est alors apparue une seconde fois à Juan Diego et lui demanda de ramasser des roses. Juan Diego s'exécuta. Lors d'une seconde rencontre avec l'évêque, Juan Diego a ouvrit alors son manteau, ce qui fit tomber des dizaines de roses sur le sol et révéla l'image de Marie imprimée à l'intérieur du manteau. Cette image est, aujourd'hui encore, vénérée dans la Basilique de Guadalupe et dans le monde entier.
Juan de Zumalaga
En entrant dans la ville, il se rendit sans hésitation au palais où vivait l'évêque récemment arrivé, le prêtre franciscain Juan de Zumalaga. Quand il est arrivé, il a essayé de le voir. Il a supplié son domestique d'annoncer la nouvelle. Après une longue attente, il a été appelé et a informé l'évêque de lui donner la permission d'entrer. En entrant, il s'est incliné, s'est agenouillé devant lui, puis a transmis le message de La Vierge. Il lui a également raconté tout ce qu'elle lui avait dit, tout ce qu'il avait vu, tout ce qu'il avait entendu. Après avoir attentivement écouté, tout cela lui paru incroyable. Puis il lui dit à Juanito : "Mon fils, tu reviendras, et je t'écouterai autant que je pourrai. Je vais, à présent, réfléchir à tout ce que tu m'as dit".
Le jour même, Juan retourna au sommet de la colline. Marie l'attendait, à l'endroit même où il l'avait vue la première fois. Il lui raconta alors son entretien avec l'évêque.
La Sainte Vierge répondit : "Mon fils, tu dois comprendre que j'ai beaucoup de serviteurs et de messagers à qui je dois confier la transmission de mon message afin de réaliser mon souhait. J'ordonne que tu ailles à nouveau voir l'évêque, demain. Tu y vas en mon nom, et fais connaître mon souhait dans son intégralité, afin qu'il commence la construction d'un temple. Et dis-lui encore une fois que c'est moi, en personne, la toujours Sainte Vierge Marie, Mère de Dieu, de Jésus de Nazareth, notre sauveur, qui t'envoie".
Juan répondit: "Madame, mon enfant, je serai heureux et disposé à accomplir cette tâche. Je n'échouerai en aucun cas, car même si je m'engage sur un chemin difficile, j'y parviendrai. J'irai pour réaliser votre souhait, mais peut-être ne serai-je pas entendue avec sympathie, ou si je suis entendu, je ne serai peut-être pas cru. Demain après-midi, au coucher du soleil, je reviendrai félicitations avec la réponse de l’évêque. Puis il rentra chez lui pour se reposer.
Le lendemain, dimanche, avant l'aube, il quitta son domicile pour aller voir l'évêque.
Peu de temps après son arrivée, il avait hâte de le voir. Il pu, finalement, s'entretenir avec lui, avec beaucoup de difficulté. Il s'agenouilla à ses pieds. Lorsqu'il lui révéla sa mission, en pleurs, espérant que l'évêque lui permettrait de croire son message, il lui expliqua quelle était la volonté divine de Marie, de construire son temple où elle le voulait. L'évêque lui demanda beaucoup de choses : où l'a-t-il rencontré très exactement et à quoi ressemblait-elle ? Juan lui décrit parfaitement tout cela. Cependant, bien qu'il ait donné une description précise de sa silhouette et de tout ce qu'il avait vu et entendu, l'évêque eut beaucoup de mal à le croire et lui demanda un signe, une preuve, de tout cela. Juan partit et retourna au sommet de la colline. Là, la Vierge lui dit "Bien, reviens ici même demain. Je te dirai ce que tu devras faire afin d'apporter une preuve à l'évêque. Et sachez, mon enfant, que je récompenserai ta sollicitude, tes efforts et la fatigue que vous tu as dépensée pour moi. Va maintenant, je t'attendrai ici demain".
Le lendemain, l'oncle de Juan, Juan Bernardino, était très malade, au point qu'il pensa qu'il était sur le point de mourir. Juan se rendit au sommet de la colline, et expliqua à Marie que son oncle était très souffrant, malade de la peste et que la mort viendrait sans nul doute le prendre dans les heures suivantes.
Après avoir écouté Juan Diego, la Sainte Mère dit: "Mon fils, écoute-moi et n'aie pas peur. Que ton cœur ne soit pas bouleversé. N'aie pas peur de cette maladie et ne t'inquiète pas, ne t'inquiète d'aucunes maladies ni d'aucunes douleurs. Ne suis-je pas ici, moi qui suis ta mère ? N'êtes-vous pas sous ma protection ? Ne suis-je pas votre santé ? Ne suis-je pas la mère de Notre-Père, la Trinité, de L'Esprit-Saint ? Que voulez-vous d'autre ? Ne vous sentez pas triste ou dérangé par quoi que ce soit. Ne sois pas triste de la maladie de ton oncle. Ton oncle ne mourra pas à cause de cela, ne t'inquiète pas, il est guéri maintenant. On apprit plus tard que son oncle était effectivement guéri.
Lorsque Juan Diego entendit ces mots , il fut réconforté. La Sainte Vierge lui dit: «Monte, mon plus jeune fils, au sommet de la montagne; là, tu trouveras différentes fleurs. Coupez-les, ramasse-les et assemble-les. Ensuite, viens me les apporter".
Aussitôt, Juan Diego monta sur la colline, et en arrivant au sommet, il fut étonné de constater que tant de variétés de roses fleurissaient, car, étant hors saison, elles n'étaient pas censées pousser. Elles étaient très fragiles et recouvertes de gouttes de rosée de la nuit, qui ressemblaient à des perles précieuses. Aussitôt, il a commença à les couper. Il les rassembla et les plaça dans son manteau.
Il descendit aussitôt de la montagne et apporta les roses coupées à la dame du ciel. Quand la Vierge vit les roses, elle les prit dans sa main puis les remit dans le manteau en disant: «Mon plus jeune fils, toi qui prie avec assiduité, ces roses sont la preuve et la marque à apporter à l'évêque. Vous lui direz en mon nom qu'il devra réaliser mon souhait. Vous êtes mon ambassadeur, le plus digne de confiance. Ce n'est qu'en présence de l'évêque que vous pourrez déplier votre manteau et révéler vos vêtements. Vous raconterez tout et bien ; vous direz que je vous ai ordonné de monter au sommet de la colline, d'aller couper des fleurs ; et tout ce que vous avez vu et admiré, afin que vous puissiez inciter l'évêque à donner son soutien, dans le but qu'un temple soit érigé, comme je l'ai demandé".
Lorsqu'il est entré, Juan Diego s'est agenouillé devant lui comme avant, et lui a redit ce qu'il avait vu et entendu sur la colline. Il a dit: "Monsieur, j'ai suivi vos ordres et je suis allé dire à la précieuse mère du Dieu divin, que vous demandiez un signe pour que vous puissiez me croire et que vous construisiez un temple là où elle a demandé qu'il soit érigé. Elle a acquiescé à votre demande et vous a gracieusement accordé de sa gloire un signe et une preuve pour compléter son souhait.
Il déplia alors son manteau blanc, là où il avait entreposé les fleurs ; et lorsqu'elles se répandirent sur le sol, toutes les différentes variétés de rosas de Castilla, soudain apparut le dessin de la précieuse image de la Sainte Vierge Marie, Mère de Dieu, telle qu'elle est aujourd'hui conservée dans le temple de Tepeyac, qui porte le nom de Guadalupe.
Lorsque l'évêque a vu l'image, lui et tous les gens présents autour de lui se sont agenouillés. Ils ont frissonné et la regardèrent avec leur cœur et leur esprit. L'évêque, en pleurs, pria de de toutes ses larmes et demanda pardon parce qu'avait pas cru Juan et le souhait de La Vierge. Puis il se leva et enleva le tissu avec l'image de La Sainte Vierge du cou de Juan Diego. Puis il l'exposa dans l'église. Juan passa ensuite le reste de la journée avec l'évêque. Le lendemain, il lui dit : Bien ! Montre-nous où Marie souhaite que l'on construise le temple. Immédiatement, il invita tous les croyants à se rendre sur les lieux.
Miguel Hidalgo
Pendant des siècles, le rôle de Notre-Dame de Guadalupe dans l'histoire mexicaine ne s'est pas limité aux affaires religieuses. Elle a joué un rôle important dans le nationalisme et l'identité mexicaine. En 1810, Miguel Hidalgo y Costilla, un religieux dont l'insurrection en faveur de Ferdinand VII, roi d'Espagne, marqua le début d'une guerre qui se termina avec l'indépendance du Mexique en 1821, l'a promue patronne de la contestation qu'il a menée contre les Espagnols. La lithographie de la Vierge de Guadalupe est apparue sur les écussons des rebelles, qui étaient d'une grande piété et priaient régulièrement le rosaire et lisaient l'Évangile de Matthieu, et le cri de guerre des rebelles était "Vive Notre-Dame de Guadalupe". Lors d'un éveil religieux au Mexique à la fin du XIXe siècle, les prédicateurs déclarèrent que la fondation du Mexique pouvait être datée de l'ère des apparitions de Notre-Dame de Guadalupe, car elle a réconcilié les Espagnols et les indigènes dans une dévotion conjointe. Il est également important de mentionner que les prolétaires rebelles d'Emiliano Zapata portaient l'écusson de certains Apôtres et de Notre Dame de Guadalupe lorsqu'ils entrèrent à Mexico en 1914, et, pendant la guerre civile au Mexique en 1926-29, les écussons des rebelles portaient également son image. Dans l'Intercession, des milliers de pèlerins visitent le sanctuaire chaque année, prouvant sa gloire, ses grâces et son importance permanente en tant que symbole religieux et de communion nationale.
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Place Saint Pierre, Vatican
Le dévotion continua à croître au fil des siècles, surtout après que Notre-Dame de Guadalupe ait supposément mis fin à l'épidémie mortelle de fièvre hémorragique qui a balayé Mexico au 18ème siècle (1736-1737). Elle fut nommée patronne de Mexico en 1737. En 1746, son patronage fut accepté par toutes les régions de la Nouvelle-Espagne, y compris aujourd'hui la Californie, le Mexique et les régions éloignées du sud telles que le Guatemala et Le Salvador. En 1754, le pape Benoît XVI approuva son patronage et lui accorda une fête et une messe appropriées le 12 décembre. En 1910, le pape Pie X annonça qu'elle était une patronne de l'Amérique latine. Notre-Dame de Guadalupe est particulièrement importante chez les femmes, en particulier au Mexique, et depuis au moins le début du XVIIIe siècle, les jésuites et d'autres religions vénèrent La Sainte Vierge de Guadalupe.
Dans la société mexicaine, Notre-Dame de Guadalupe est le parfait liant de la religion, la politique, la famille, du passé colonial de ce pays et de son présent indépendant, de la population indigène et mexicaine. Elle est la parfaite représentation des relations sociales exceptionnelles de la vie et de la culture mexicaine et incarne à merveille les émotions générées par la religion chrétienne. À travers les siècles, elle fournit un langage culturel puissant à travers lequel le sens et les émotions de ces relations peuvent être exprimés.
En 2000, le président élu du Mexique, Vicente Fox Quesada, après avoir entendu les résultats des élections, a hissé le drapeau de la Vierge de Guadalupe et visité la cathédrale de Guadalupe.
Au fil des ans, le culte de Notre Dame de Guadalupe a commencé à se répandre parce que certains Mexicains qui sont allés aux Etats-Unis se sont confiés et ont promu son miracle auprès d'immigrants d'autres pays. Sainte Marie de Guadalupe traversa peu à peu la frontière jusqu'à devenir l'une des vierges avec le plus grand nombre d'adeptes au monde.
Le culte de Sainte Marie de Guadalupe n'est pas seulement présent au Mexique et en Amérique latine, car l'image de cette vierge est populaire auprès des croyants du monde entier.
En 2010, alors que la Coupe du monde de football en Afrique du Sud était sur le point de se tenir, Angel Maria Villar, le président de la Fédération royale espagnole de football, a promis de lui apporter le trophée de la Coupe du monde pour remercier la Vierge de Guadalupe, si l'équipe espagnole était couronnée dans ce match; lorsque l'équipe espagnole remportera la coupe, la Fédération et l'équipe l'ont porté sur l'autel.
Pour finir...
O Vierge Immaculée, Mère du vrai Dieu et Mère de l'Eglise !
Vous qui, de ce lieu, révélez votre clémence et votre pitié à tous ceux qui demandent votre protection ;
entendez la prière que nous vous adressons avec une confiance forte,
et le présentez la à ton Fils Jésus, notre unique Rédempteur.
Mère de la miséricorde,
Enseignant du sacrifice caché et silencieux,
à vous, qui venez à notre rencontre, nous les pécheurs,
nous consacrons en ce jour tout notre être et tout notre amour.
Nous vous dédions également notre vie, notre travail,
nos joies, nos infirmités et nos peines.
Accorde la paix, la justice et la prospérité à notre peuple ;
car nous confions à vos soins
tout ce que nous avons et tout ce que nous sommes,
Notre Dame et Mère.
Nous souhaitons être entièrement à vous
et de marcher avec vous
sur le chemin de la fidélité totale à Jésus-Christ dans son Église :
tiens-nous toujours par ta main aimante.
Vierge de Guadalupe,
Mère des Amériques,
nous vous prions pour tous les évêques,
pour qu'ils puissent guider les fidèles
sur les chemins d'une vie chrétienne intense,
d'amour et d'humble service de Dieu et des âmes.
Contemplez cette immense moisson, et intercédez auprès du Seigneur
afin de lui insuffler une soif de sainteté
dans l'ensemble du peuple de Dieu,
et d'accorder d'abondantes vocations de prêtres et de religieux,
forte dans la foi et dispensatrice zélée des mystères de Dieu.
Accordez à nos foyers
la grâce d'aimer et de respecter la vie à ses débuts,
avec le même amour avec lequel vous avez conçu dans votre ventre la vie du Fils de Dieu.
Bienheureuse Vierge Marie,
Mère de l'amour juste,
protégez nos familles,
afin qu'ils soient toujours unis,
et bénissez l'éducation de nos enfants.
Notre espoir, regardez-nous avec compassion,
apprenez nous à aller continuellement vers Jésus
et, si nous tombons,
aidez nous à nous relever,
par la confession de nos fautes et de nos péchés
dans le sacrement de la Pénitence,
qui donne la paix à l'âme.
Nous vous prions de nous accorder
un grand amour pour tous les saints sacrements,
qui sont, pour ainsi dire,
les signes que ton Fils nous a laissés sur terre.
Ainsi, très sainte Mère,
avec la paix de Dieu dans notre conscience,
avec nos cœurs libérés du mal et de la haine,
nous serons en mesure d'apporter à tous
la vraie joie et la vraie paix,
qui nous viennent de ton Fils,
notre Seigneur Jésus-Christ,
qui avec Dieu le Père et le Saint-Esprit,
vit et règne pour toujours et à jamais.
Amen.
Pape Jean-Paul II
Le mot "neuvaine" est dérivé du mot latin signifiant "neuf", ou "novem". Selon la tradition chrétienne, une neuvaine correspond à neuf jours de prière, durant lesquels la personne qui va les effectuer va demander à Dieu une intention, un désir, une volonté distincte et précise, le plus souvent par l'intervention et l'intermédiaire d'un saint. Il est généralement admis que les neuvaines sont une parfaite manière de devenir plus déterminé, cohérent et persistant dans la prière quotidienne et dans la foi.
La grande partie des neuvaines les plus répandues et les plus priées commencent ou se terminent le jour de la fête d'un saint. Et il est important de préciser que, si la plupart des neuvaines durent en effet précisément neuf jours, il existe quelques exceptions, notamment la neuvaine de Noël de Saint-André, qui dure, elle, 25 jours.
Ainsi, il faudra prier la neuvaine qui s'applique à chaque jour pendant neuf jours d'affilée, sans en manquer un seul. Certaines neuvaines recommencent la même prière chaque jour, là où d'autres neuvaines ont une prière spéciale et caractéristique pour chaque jour de la neuvaine.
L'Archange Michel est communément appelé "Saint Michel", malgré le fait qu'il soit un ange et non un saint. L'acceptation de ce terme résulte de la canonisation. Selon la tradition chrétienne, il est dit que Saint Michel est le prince de tous les anges de Dieu, ainsi que le protecteur de l'église. Saint Michel est apparu dans la Bible à de nombreuses reprises, notamment dans le livre de Daniel, où il est fait mention de Saint Michel comme le "Grand Prince et défenseur de ton peuple", et comme un ange tenant en sa main une magnifique épée. L'Archange Michel s'est présenté à Josué (Josué est le successeur de Moïse dans la conduite du peuple hébreu vers la Terre Promise) juste avant la chute de Jéricho, comme patron de la Sainte armée de Dieu. Saint Michel, avec l'aide de son armée d'anges, a banni Satan et ses sombres serviteurs, et les envoya en enfer. Il est important de mentionner que Saint Michel est également vénéré comme chevalier servant et protecteur de l'Église catholique. Dans l'art chrétien, il est souvent représenté portant une armure, brandissant une épée ou une lance et tuant un dragon ou un serpent, qui sont des représentations de Satan.
À présent que nous avons établi les bases, vous pouvez prier la neuvaine complète de l'Archange Saint Michel à l'aide de notre guide ci-dessous. Priez chacune de ces prières quotidiennement pendant neuf jours. Si votre état de santé ne peut pas vous permettre de prier toute la neuvaine, veuillez prier au moins la première. Les intentions peuvent être implicites et non récités à chaque fois.
Premier jour de la neuvaine - en l'honneur des Séraphins.
Saint Michel Archange, rempli de la sagesse de Dieu, fort dans le combat, venez à mon aide, soutenez-moi dans les difficultés, les épreuves, quand je souffre, quand je doute, quand je pleure. Obtenez-moi le courage, la force, la volonté, pour ne pas me laisser abattre. Saint Michel Archange, soyez mon défenseur et protecteur contre les forces du Mal.
Prince très glorieux de la milice céleste, Saint Michel Archange, défendez-nous dans le combat contre les princes et les puissances, contre les dominateurs de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants répandus dans l'air. Venez au secours des hommes que Dieu a faits, à l'image de sa propre nature, et rachetés à grand prix de la tyrannie du démon. Amen
Me confiant en l'intercession de votre Bienheureux Archange Saint Michel, je vous supplie, Seigneur, de m'accorder la grâce que le pèlerinage de Chrétienté 2021 se déroule dans de bonnes conditions selon la volonté de Dieu, pour l'extension du règne du Christ, la liberté de l'Eglise, le maintien de la chrétienté, de la tradition et de la mission, et la conversion des nations.
Saint Michel Archange, de votre lumière éclairez-nous. De vos ailes, protégez-nous. De votre épée, défendez-nous.
Archange Saint Michel, nous vous célébrons en tant que suprême protecteur de l'Église et en tant que gardien de nos âmes. Inspire-nous de ton humilité, de ta force et de ton courage pour que nous puissions nous éloigner du péché et bonifier notre amour pour notre Père Céleste. Dans ta puissance et ton humilité, tue le mal et l'orgueil dans nos cœurs afin que rien ne puisse nous éloigner de Dieu. Saint Michel, Archange, priez pour que nous soyons bénis de Dieu avec le courage de vivre notre vie selon les enseignements du Christ. Saint Michel Archange, tu es le prince des anges mais dans ton humilité tu as reconnu que Dieu est Dieu et que tu n'es que son serviteur. Contrairement au diable, tu n'as pas été vaincu par l'orgueil, mais tu as été ferme dans l'humilité. Priez pour que nous ayons cette même humilité. C'est dans l'esprit de cette humilité que nous demandons votre intercession pour nos prières.
(Énoncez à présent vos prières)
Saint Michel Archange, défends-nous , sois notre protection contre la méchanceté et les pièges du diable. Que Dieu le réprimande. Et toi, Prince de l'armée céleste, par la puissance de Dieu, jette en enfer Satan et tous les mauvais esprits qui rôdent dans le monde en cherchant la ruine des âmes.
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen
Deuxième jour de la neuvaine - en l'honneur des Chérubins.
Saint Michel, Prince de la Milice des Anges, je vous invoque, exaucez-moi.
Je vous supplie de prendre mon âme, au dernier jour, sous votre très sainte garde et de la conduire au lieu du rafraîchissement, de la paix et du repos, où les âmes des saints attendent dans la joie ineffable, le jugement à venir et la gloire de la résurrection glorieuse. Que je parle ou me taise, que je veille, que je marche ou me repose, gardez-moi dans l'accomplissement de toutes mes œuvres, dans tous les actes de ma vie. Préservez-moi des tentations des démons et des peines de l'enfer.
Saint Michel Archange, terreur des démons, vainqueur de Satan, venez à mon secours, dans la lutte que je dois mener chaque jour contre mes défauts, contre les mauvaises influences qui m'assaillent de toutes parts. Aidez-moi à vaincre les tentations et à mener le bon combat avec persévérance et confiance pour mon plus grand bien. Amen.
Me confiant en l'intercession de votre Bienheureux Archange Saint Michel, je vous supplie, Seigneur, de m'accorder la grâce ...
Saint Michel Archange, de votre lumière éclairez-nous. De vos ailes, protégez-nous. De votre épée, défendez-nous.
Archange Saint Michel, nous vous célébrons en tant que suprême protecteur de l'Église et en tant que gardien de nos âmes. Inspire-nous de ton humilité, de ta force et de ton courage pour que nous puissions nous éloigner du péché et bonifier notre amour pour notre Père Céleste. Dans ta puissance et ton humilité, tue le mal et l'orgueil dans nos cœurs afin que rien ne puisse nous éloigner de Dieu. Saint Michel, Archange, priez pour que nous soyons bénis de Dieu avec le courage de vivre notre vie selon les enseignements du Christ. Saint Michel Archange, tu es le prince des anges mais dans ton humilité tu as reconnu que Dieu est Dieu et que tu n'es que son serviteur. Contrairement au diable, tu n'as pas été vaincu par l'orgueil, mais tu as été ferme dans l'humilité. Priez pour que nous ayons cette même humilité. C'est dans l'esprit de cette humilité que nous demandons votre intercession pour nos prières.
(Énoncez à présent vos prières)
Saint Michel Archange, défends-nous , sois notre protection contre la méchanceté et les pièges du diable. Que Dieu le réprimande. Et toi, Prince de l'armée céleste, par la puissance de Dieu, jette en enfer Satan et tous les mauvais esprits qui rôdent dans le monde en cherchant la ruine des âmes.
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen
Troisième jour de la neuvaine - en l'honneur des Trônes
Grand défenseur du peuple chrétien Saint Michel Archange, pour remplir dignement la mission qui vous a été confiée de défendre l'Eglise, terrassez l'hérésie, exterminez les schismes et confondez l'incrédulité.
Multipliez vos victoires sur les monstres infernaux qui veulent détruire notre foi.
Que l'Eglise de Jésus-Christ accueille de nouveaux fidèles et s'agrège des royaumes entiers afin qu'elle puisse peupler le ciel d'âmes élues, pour la plus grande gloire du divin Rédempteur, à qui vous-même devez vos triomphes, vos mérites et votre éternelle félicité.
Saint Michel Archange, fidèle serviteur de Dieu, humble et fidèle à votre Créateur, vous vous êtes levé et vous avez combattu contre Lucifer, le rebelle, l'orgueilleux. Soyez mon soutien ma force dans la lutte contre le mal. Apprenez-moi à louer, à aimer, à servir le Seigneur notre Dieu, dans l'humilité, la confiance, la fidélité et l'amour. Amen.
Me confiant en l'intercession de votre Bienheureux Archange Saint Michel, je vous supplie, Seigneur, de m'accorder la grâce ...
Saint Michel Archange, de votre lumière éclairez-nous. De vos ailes, protégez-nous. De votre épée, défendez-nous.
Archange Saint Michel, nous vous célébrons en tant que suprême protecteur de l'Église et en tant que gardien de nos âmes. Inspire-nous de ton humilité, de ta force et de ton courage pour que nous puissions nous éloigner du péché et bonifier notre amour pour notre Père Céleste. Dans ta puissance et ton humilité, tue le mal et l'orgueil dans nos cœurs afin que rien ne puisse nous éloigner de Dieu. Saint Michel, Archange, priez pour que nous soyons bénis de Dieu avec le courage de vivre notre vie selon les enseignements du Christ. Saint Michel Archange, tu es le prince des anges mais dans ton humilité tu as reconnu que Dieu est Dieu et que tu n'es que son serviteur. Contrairement au diable, tu n'as pas été vaincu par l'orgueil, mais tu as été ferme dans l'humilité. Priez pour que nous ayons cette même humilité. C'est dans l'esprit de cette humilité que nous demandons votre intercession pour nos prières.
(Énoncez à présent vos prières)
Saint Michel Archange, défends-nous , sois notre protection contre la méchanceté et les pièges du diable. Que Dieu le réprimande. Et toi, Prince de l'armée céleste, par la puissance de Dieu, jette en enfer Satan et tous les mauvais esprits qui rôdent dans le monde en cherchant la ruine des âmes.
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen
Quatrième jour de la neuvaine - en l'honneur des Dominations
O vous, qui êtes le Prince et le Porte-Etendard des bons Anges, assistez-moi toujours dans votre bonté et sauvez-moi.
Des légions de l'ange des ténèbres préservez-moi, afin que, sous votre conduite, je partage la lumière des bons Anges.
Devant le trône du Juge Suprême, soyez mon défenseur, plaidez ma cause et conjurez la colère du juste vengeur.
Que, par vous, à mes travaux, à mon repos, à mes jours et à mes nuits soit donnée la prospérité ; que ma pensée soit toujours prête pour les œuvres de Dieu.
Saint Michel Archange, Ange de la paix, dans le combat du ciel, vous avez rassemblé les anges fidèles pour vaincre Satan et pour louer Dieu dans l'allégresse, dans la joie et la paix ; je vous prie spécialement d'intercéder pour faire régner la paix dans les cœurs, les familles, l'Eglise, les nations et le monde. Que vienne le Règne de paix et d'amour du Christ notre Sauveur. Amen.
Me confiant en l'intercession de votre Bienheureux Archange Saint Michel, je vous supplie, Seigneur, de m'accorder la grâce ...
Saint Michel Archange, de votre lumière éclairez-nous. De vos ailes, protégez-nous. De votre épée, défendez-nous.
Archange Saint Michel, nous vous célébrons en tant que suprême protecteur de l'Église et en tant que gardien de nos âmes. Inspire-nous de ton humilité, de ta force et de ton courage pour que nous puissions nous éloigner du péché et bonifier notre amour pour notre Père Céleste. Dans ta puissance et ton humilité, tue le mal et l'orgueil dans nos cœurs afin que rien ne puisse nous éloigner de Dieu. Saint Michel, Archange, priez pour que nous soyons bénis de Dieu avec le courage de vivre notre vie selon les enseignements du Christ. Saint Michel Archange, tu es le prince des anges mais dans ton humilité tu as reconnu que Dieu est Dieu et que tu n'es que son serviteur. Contrairement au diable, tu n'as pas été vaincu par l'orgueil, mais tu as été ferme dans l'humilité. Priez pour que nous ayons cette même humilité. C'est dans l'esprit de cette humilité que nous demandons votre intercession pour nos prières.
(Énoncez à présent vos prières)
Saint Michel Archange, défends-nous , sois notre protection contre la méchanceté et les pièges du diable. Que Dieu le réprimande. Et toi, Prince de l'armée céleste, par la puissance de Dieu, jette en enfer Satan et tous les mauvais esprits qui rôdent dans le monde en cherchant la ruine des âmes.
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen
Cinquième jour de la neuvaine - en l'honneur des Puissances.
Saint Michel Archange, c’est vous que la sainte Eglise vénère comme son gardien et son protecteur. C’est aussi à vous que le Seigneur a confié la mission d'introduire dans la céleste félicité, les âmes rachetées.
Priez donc le Dieu de Paix, d'écraser Satan sous nos pieds afin qu'il ne puisse plus retenir les hommes dans ses chaînes et nuire à l'Eglise.
Présentez au Très-Haut nos prières, afin que, sans tarder, le Seigneur nous fasse miséricorde.
Vous-même, saisissez le dragon, l'antique serpent, qui est le diable et Satan, et jetez-le enchaîné dans l'abîme, pour qu'il ne séduise plus les nations.
Saint Michel Archange, bienfaiteur des peuples qui vous honorent, soyez toujours à mes côtés. Apprenez-moi à vivre en communion incessante de cœur et d'esprit avec le Seigneur, en paix avec mes frères. Présentez à Dieu mes humbles prières et supplications. Priez avec moi, priez pour moi, soutenez-moi. Amen.
Me confiant en l'intercession de votre Bienheureux Archange Saint Michel, je vous supplie, Seigneur, de m'accorder la grâce ...
Saint Michel Archange, de votre lumière éclairez-nous. De vos ailes, protégez-nous. De votre épée, défendez-nous.
Archange Saint Michel, nous vous célébrons en tant que suprême protecteur de l'Église et en tant que gardien de nos âmes. Inspire-nous de ton humilité, de ta force et de ton courage pour que nous puissions nous éloigner du péché et bonifier notre amour pour notre Père Céleste. Dans ta puissance et ton humilité, tue le mal et l'orgueil dans nos cœurs afin que rien ne puisse nous éloigner de Dieu. Saint Michel, Archange, priez pour que nous soyons bénis de Dieu avec le courage de vivre notre vie selon les enseignements du Christ. Saint Michel Archange, tu es le prince des anges mais dans ton humilité tu as reconnu que Dieu est Dieu et que tu n'es que son serviteur. Contrairement au diable, tu n'as pas été vaincu par l'orgueil, mais tu as été ferme dans l'humilité. Priez pour que nous ayons cette même humilité. C'est dans l'esprit de cette humilité que nous demandons votre intercession pour nos prières.
(Énoncez à présent vos prières)
Saint Michel Archange, défends-nous , sois notre protection contre la méchanceté et les pièges du diable. Que Dieu le réprimande. Et toi, Prince de l'armée céleste, par la puissance de Dieu, jette en enfer Satan et tous les mauvais esprits qui rôdent dans le monde en cherchant la ruine des âmes.
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen
Sixième jour de la neuvaine - en l'honneur des Vertus.
Le Christ, Marie et les Saints - Michel-Ange, Jugement dernier. Chapelle Sixtine, 1534-1541
Saint Michel Archange, défendez-nous dans le combat, afin que nous ne périssions pas au jour du redoutable jugement.
Prince très glorieux, souvenez-vous de nous, et priez le Fils de Dieu pour nous, partout et toujours.
Quand vous combattiez le dragon, on entendit du ciel la voix de ceux qui disaient : « Salut, honneur et gloire au Dieu Tout-Puissant ! » La mer se souleva, la terre trembla, quand vous êtes descendu du ciel. Venez au secours du peuple de Dieu.
Saint Michel Archange, notre soutien dans la lutte contre le mal, voyez le combat acharné et continuel que les forces du mal livrent contre les enfants de Dieu. Je vous en supplie, intercédez pour nous, soutenez ceux qui sont méprisés, rejetés, persécutés, pour qu'ils puissent rester fidèles au Seigneur. Obtenez-leur, obtenez-nous le courage, la confiance, la persévérance. Amen.
Me confiant en l'intercession de votre Bienheureux Archange Saint Michel, je vous supplie, Seigneur, de m'accorder la grâce ...
Saint Michel Archange, de votre lumière éclairez-nous. De vos ailes, protégez-nous. De votre épée, défendez-nous.
Archange Saint Michel, nous vous célébrons en tant que suprême protecteur de l'Église et en tant que gardien de nos âmes. Inspire-nous de ton humilité, de ta force et de ton courage pour que nous puissions nous éloigner du péché et bonifier notre amour pour notre Père Céleste. Dans ta puissance et ton humilité, tue le mal et l'orgueil dans nos cœurs afin que rien ne puisse nous éloigner de Dieu. Saint Michel, Archange, priez pour que nous soyons bénis de Dieu avec le courage de vivre notre vie selon les enseignements du Christ. Saint Michel Archange, tu es le prince des anges mais dans ton humilité tu as reconnu que Dieu est Dieu et que tu n'es que son serviteur. Contrairement au diable, tu n'as pas été vaincu par l'orgueil, mais tu as été ferme dans l'humilité. Priez pour que nous ayons cette même humilité. C'est dans l'esprit de cette humilité que nous demandons votre intercession pour nos prières.
(Énoncez à présent vos prières)
Saint Michel Archange, défends-nous , sois notre protection contre la méchanceté et les pièges du diable. Que Dieu le réprimande. Et toi, Prince de l'armée céleste, par la puissance de Dieu, jette en enfer Satan et tous les mauvais esprits qui rôdent dans le monde en cherchant la ruine des âmes.
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen
Septième jour de la neuvaine - en l'honneur des Principautés.
Mosaïque présente sur le monastère Saint Michel de Vydoubytch, Ukraine
O Saint Michel, Prince trois fois saint de la Milice sacrée, Dieu vous a chargé d'organiser et de conduire les phalanges angéliques, très dignes de tout culte, de toute louange et de tout éloge.
Eclairez mes sens intérieurs, fortifiez mon pauvre cœur agité par les tempêtes de cette vie ; élevez vers les hauteurs de la céleste sagesse mon esprit, incliné vers les choses de la terre ; affermissez mes pas sur le sentier qui conduit aux Cieux ; guérissez les plaies de mon âme ; faites disparaître la trace de toutes les souffrances qu'engendrent en moi misères et malheurs.
Saint Michel Archange, gardien et patron de la Sainte Eglise, voyez aujourd'hui l'Eglise du Christ, parfois contestée, critiquée par les forces du mal. Saint Michel, soutenez Sa Sainteté "le Pape" et tous les fidèles en communion avec lui. Eclairez ceux qui doutent et qui chancellent. Soyez aujourd'hui et toujours le défenseur et le protecteur de la Sainte Eglise du Christ. Amen.
Me confiant en l'intercession de votre Bienheureux Archange Saint Michel, je vous supplie, Seigneur, de m'accorder la grâce ...
Saint Michel Archange, de votre lumière éclairez-nous. De vos ailes, protégez-nous. De votre épée, défendez-nous.
Archange Saint Michel, nous vous célébrons en tant que suprême protecteur de l'Église et en tant que gardien de nos âmes. Inspire-nous de ton humilité, de ta force et de ton courage pour que nous puissions nous éloigner du péché et bonifier notre amour pour notre Père Céleste. Dans ta puissance et ton humilité, tue le mal et l'orgueil dans nos cœurs afin que rien ne puisse nous éloigner de Dieu. Saint Michel, Archange, priez pour que nous soyons bénis de Dieu avec le courage de vivre notre vie selon les enseignements du Christ. Saint Michel Archange, tu es le prince des anges mais dans ton humilité tu as reconnu que Dieu est Dieu et que tu n'es que son serviteur. Contrairement au diable, tu n'as pas été vaincu par l'orgueil, mais tu as été ferme dans l'humilité. Priez pour que nous ayons cette même humilité. C'est dans l'esprit de cette humilité que nous demandons votre intercession pour nos prières.
(Énoncez à présent vos prières)
Saint Michel Archange, défends-nous , sois notre protection contre la méchanceté et les pièges du diable. Que Dieu le réprimande. Et toi, Prince de l'armée céleste, par la puissance de Dieu, jette en enfer Satan et tous les mauvais esprits qui rôdent dans le monde en cherchant la ruine des âmes.
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen
Huitième jour de la neuvaine - en l'honneur des Archanges.
Archange Saint Michel, qui avez pour mission de recueillir nos prières, de diriger nos combats et de peser nos âmes, je rends hommage à votre beauté.
Elle est si semblable à celle de Dieu, qu'après son Verbe éternel aucun autre Esprit céleste ne vous est comparable.
Votre volonté, harmonieusement est unie à celle du Cœur immaculé de Marie, pour le bien de l'homme.
Défendez-moi contre les ennemis de mon âme et de mon corps. Rendez-moi sensible le réconfort de votre assistance invisible et les effets de votre vigilante tendresse.
Saint Michel Archange, dont la prière conduit au bien, voyez notre prière bien humaine et
compréhensible quand un être cher est enlevé à notre affection. Vous êtes notre intercesseur auprès de Dieu, priez intensément pour le repos de l'âme de nos chers défunts et pour la consolation de ceux qui les pleurent. Que Dieu de Miséricorde les accueille dans le bonheur de la vie éternelle. Amen.
Me confiant en l'intercession de votre Bienheureux Archange Saint Michel, je vous supplie, Seigneur, de m'accorder la grâce ...
Saint Michel Archange, de votre lumière éclairez-nous. De vos ailes, protégez-nous. De votre épée, défendez-nous.
Archange Saint Michel, nous vous célébrons en tant que suprême protecteur de l'Église et en tant que gardien de nos âmes. Inspire-nous de ton humilité, de ta force et de ton courage pour que nous puissions nous éloigner du péché et bonifier notre amour pour notre Père Céleste. Dans ta puissance et ton humilité, tue le mal et l'orgueil dans nos cœurs afin que rien ne puisse nous éloigner de Dieu. Saint Michel, Archange, priez pour que nous soyons bénis de Dieu avec le courage de vivre notre vie selon les enseignements du Christ. Saint Michel Archange, tu es le prince des anges mais dans ton humilité tu as reconnu que Dieu est Dieu et que tu n'es que son serviteur. Contrairement au diable, tu n'as pas été vaincu par l'orgueil, mais tu as été ferme dans l'humilité. Priez pour que nous ayons cette même humilité. C'est dans l'esprit de cette humilité que nous demandons votre intercession pour nos prières.
(Énoncez à présent vos prières)
Saint Michel Archange, défends-nous , sois notre protection contre la méchanceté et les pièges du diable. Que Dieu le réprimande. Et toi, Prince de l'armée céleste, par la puissance de Dieu, jette en enfer Satan et tous les mauvais esprits qui rôdent dans le monde en cherchant la ruine des âmes.
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen
Neuvième jour de la neuvaine - en l'honneur des Anges.
Glorieux Archange Saint Michel, vous êtes le grand zélateur de la gloire de Dieu et protecteur de l'Eglise universelle.
Le Tout-Puissant vous a confié la mission de recevoir les âmes à la sortie du corps, pour les présenter au très juste Juge. Daignez me secourir dans mon dernier combat.
Accompagné de mon bon Ange gardien, venez à mon aide, et chassez loin de moi tous les esprits infernaux.
Ne permettez pas qu'ils m'épouvantent alors. Fortifiez-moi dans la Foi, l'Espérance et la Charité, afin que mon âme portée par vous à son juge, soit introduite aussitôt au lieu du repos, pour y régner éternellement avec son Rédempteur. Amen.
Saint Michel Archange, vous introduisez les âmes dans la lumière éternelle. A chaque seconde, des âmes quittent cette terre d'exil, soyez auprès des agonisants qui livrent le dernier combat contre le prince du mensonge et du mal, qui voudrait les entraîner dans l'abîme. Avec la Vierge Marie, soyez auprès de nous pour nous assister à l'heure du grand passage vers l'éternité. Présentez notre âme au Dieu de Miséricorde et d'Amour. Amen.
Me confiant en l'intercession de votre Bienheureux Archange Saint Michel, je vous supplie, Seigneur, de m'accorder la grâce ...
Saint Michel Archange, de votre lumière éclairez-nous. De vos ailes, protégez-nous. De votre épée, défendez-nous.
Archange Saint Michel, nous vous célébrons en tant que suprême protecteur de l'Église et en tant que gardien de nos âmes. Inspire-nous de ton humilité, de ta force et de ton courage pour que nous puissions nous éloigner du péché et bonifier notre amour pour notre Père Céleste. Dans ta puissance et ton humilité, tue le mal et l'orgueil dans nos cœurs afin que rien ne puisse nous éloigner de Dieu. Saint Michel, Archange, priez pour que nous soyons bénis de Dieu avec le courage de vivre notre vie selon les enseignements du Christ. Saint Michel Archange, tu es le prince des anges mais dans ton humilité tu as reconnu que Dieu est Dieu et que tu n'es que son serviteur. Contrairement au diable, tu n'as pas été vaincu par l'orgueil, mais tu as été ferme dans l'humilité. Priez pour que nous ayons cette même humilité. C'est dans l'esprit de cette humilité que nous demandons votre intercession pour nos prières.
(Énoncez à présent vos prières)
Saint Michel Archange, défends-nous , sois notre protection contre la méchanceté et les pièges du diable. Que Dieu le réprimande. Et toi, Prince de l'armée céleste, par la puissance de Dieu, jette en enfer Satan et tous les mauvais esprits qui rôdent dans le monde en cherchant la ruine des âmes.
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen
Connu familièrement sous le nom de "signe du poisson", il est rapporté que, dans les temps anciens, l'ichthus était utilisé par les chrétiens comme un symbole secret que tous reconnaîtraient, que ce soit sur les murs, les rochers ou le sable. Le symbole simple du poisson est constitué de deux arcs qui se croisent, dont les extrémités s'étendent au-delà du point de rencontre de manière à ressembler au profil d'un poisson. Il a été suggéré que lorsqu'un chrétien rencontrait un étranger sur la route, il/elle dessinait parfois un arc du contour du poisson dans la terre. Si l'étranger dessinait l'autre arc, les deux croyants savaient qu'ils étaient en bonne compagnie ! Le symbole peut aussi avoir été utilisé par les premiers chrétiens pour marquer des tombes ou même des lieux de rencontre dans une église de maison.
Mais d'où vient ce symbole ancien ? Comment a t-il était inventé, par qui et pour quelles raisons ? Toutes les réponses sont dans notre article !
Le symbole du poisson est basé sur un acronyme grec pour la phrase Jésus-Christ, le Fils de Dieu, Sauveur. En grec, l'expression est Ίησοῦς Χριστός, Θεοῦ Υἱός, Σωτήρ. Lorsque nous prenons la première lettre de chaque mot de cette phrase, nous avons ΙΧΘΥΣ, qui se trouve être le mot grec pour " poisson " (ixthus ou ichthus). Certaines versions du symbole chrétien du poisson contiennent les lettres grecques à l'intérieur ou en dessous du symbole lui-même.
Dans l'Antiquité gréco-romaine, ICHTHÈSE était le mot grec pour "poisson". Dans l'église primitive, vers la fin du premier siècle, le mot est devenu un acronyme ou un mot formé de la première lettre de plusieurs mots :
Iota (i) est la première lettre de Iesous (grec pour Jésus)
Chi (kh) est la première lettre de Khristos (grec pour Christ)
Thêta (th) est la première lettre de Theou (grec pour Dieu, ou "de Dieu")
Upsilon (u) est la première lettre de Huios (grec pour fils)
Sigma(s) est la première lettre de Soter (Grec pour Sauveur)
En tant que tel et sur la base de cette configuration, ichthus signifie donc "Jésus-Christ, fils de Dieu, Sauveur".
Pendant les premiers jours du christianisme, les chrétiens étaient souvent mis à mort pour avoir pratiqué leur foi, ils priaient donc dans des endroits secrets. Un poisson peint ou gravé sur la porte extérieure d'une maison permettait aux autres chrétiens de savoir qu'ils seraient en sécurité et bienvenus à l'intérieur. Les anciennes catacombes de Rome sont remplies d'images de poissons, sculptées là par des chrétiens qui se cachent de la persécution.
Pendant le règne de l'empereur Néron (54 après J.-C. - 68 après J.-C.), et pendant le règne des empereurs maléfiques ultérieurs de l'Empire romain, les chrétiens étaient souvent persécutés, torturés et mis à mort à cause de leur foi en Jésus Christ. L'empereur Néron lui-même méprisait personnellement les chrétiens. Il les blâma pour le grand incendie de l'an 64 qui brûla près de la moitié de Rome. C'est pendant les persécutions de Néron que Pierre et Paul auraient péri. Jean Le Baptiste fut, lui, persécuté et tué peu de temps avant ces tristes événements.
L’exécution de Jean Le Baptiste, en l'an 30 de notre ère.
Ichthus datant du Ier siècle dessiné dans une grotte, symbole de paix et de sécurité.
Afin d'éviter d'être capturer et de subir des persécutions inutiles, les chrétiens dessinaient donc souvent un ichthus dans la terre, la boue, le sable ou sur les murs des grottes pour faire savoir à un autre chrétien qu'il était aussi un compagnon de foi du Christ, qu'il était en sécurité à cet endroit précis, et qu'il était sûr de parler de leur foi sans crainte d'être persécuté.
Les lecteurs les plus assidus dans la Sainte Bible auront notés que de nombreuses références aux poissons y sont faites, et, plus généralement, à divers animaux, tel le hibou (nous vous conseillons à cet effet de visiter la boutique du Royaume du hibou, boutique en ligne entièrement dédié à ce superbe animal présent dans La Sainte Bible). De nombreuses références aux poissons sont donc faites dans la Bible, comme Jésus nourrissant cinq mille hommes avec cinq pains et deux poissons (Matthieu 14:15-21 ; Marc 6:34-44 ; Luc 9:11-17 ; Jean 6:5-13).
Jésus prit les cinq pains et les deux poissons, leva les yeux vers le ciel, prononça la prière de bénédiction et partagea les pains. Marc 6:41.
Notons également ce passage de la Bible où Jésus appelle ses disciples à être des " pêcheurs d'hommes ", où Jésus a appelé ces hommes à présenter la Grande Commission aux autres afin qu'ils sachent que Jésus est leur Sauveur (Matthieu 4:19). Le royaume des cieux est décrit comme une "traînée" pour rassembler les gens de toutes sortes vers le royaume, en donnant aussi l'exemple de la pêche (Matthieu 13.47).
Voici encore à quoi ressemble le royaume des cieux : des pêcheurs ont jeté en mer un filet qui ramasse toutes sortes de poissons. Matthieu 13:47.
Qui pourrait aussi oublier que Jésus, après sa résurrection du tombeau, a cuisiné du poisson pour ses disciples et a prouvé qu'il était leur Seigneur et qu'il était libéré du tombeau (Jean 21.9-14).
Une fois descendus à terre, ils aperçurent un feu de braise avec du poisson dessus, et du pain. Jean 21:9.
Ce que tous ces versets de la Bible relaient est la notion que le poisson représente un élément significatif de la Bible, où il n'était pas seulement utilisé pour apporter la communion et l'amour de Jésus à tous mais aussi pour présenter le royaume de Dieu d'une manière visuelle et puissante aux croyants. Les versets englobent la croyance que lorsque nous montrons l'amour et la grâce de Jésus aux autres (comme un filet), nous attirons vers nous les personnes perdues qui ont besoin de savoir que le Sauveur les aime.
L'ichthus est une représentation iconique de la foi à laquelle tout chrétiens est attaché. La croyance selon laquelle Dieu a envoyé Jésus sur terre pour montrer la puissance de son amour et qui s'est terminé par la mort atroce du Christ pour nos péchés afin que nous puissions être réunis avec Dieu par l'acceptation de Jésus et du Saint-Esprit est une croyance extrêmement puissante. Le simple fait d'avoir l'ichthus sur une chemise, sur votre carte de visite ou à la fin de votre courriel ne suffit pas à prendre la place d'une relation avec Jésus que vous pouvez avoir par la foi.
Ce que l'on espère, c'est qu'en voyant ce symbole ancestral chrétien du poisson quelque part, vous vous rappellerez de Jésus et de son désir que nous soyons tous des "pêcheurs d'hommes". Prenez à cœur cette connaissance de l'ichthus et laissez-la influencer votre vie et vos choix quotidiens. Lisez les références bibliques ; rappelez-vous de ceux qui ont utilisé ce symbole pour adorer encore leur Seigneur alors qu'il était puni de mort ; soyez étonné en sachant que le simple dessin d'un poisson a gardé le christianisme vivant et bien portant pendant les périodes sombres de l'histoire.
Jean-Paul II a dit de Sainte Rita qu'elle était la plus grande des saintes. Elle est l'avocate des causes désespérées. Dans une Italie ravagée par la guerre, par des catastrophes naturelles tels que des tremblements de terre et par la peste, elle fut une mère pleine d'amour et une épouse dévouée. Elle connu de grandes joies et d'immenses douleurs tout au long de sa vie, sans jamais perdre espoir et foi en Dieu. Rita de Cascia fut durement frappée par la perte de son mari, assassiné, et de ses enfants. Elle a malgré tout trouvé la force de pardonner aux assassins de son mari, et elle réussit à faire régner la paix dans une ville gangrenée par la Vendetta. Sa sainteté se reflétait dans chaque phase de sa vie. Elle est considérée comme celle qui rend espoir à ceux qui sont sur le point de le perdre.
Née à Roccaporena dans le centre de l'Italie, Rita voulait devenir religieuse, mais elle a été forcée très jeune à épouser un homme dur et cruel. Pendant son mariage de 18 ans, elle a donné naissance à deux fils et les a élevés. Après que son mari ait été tué dans une bagarre et que ses fils soient morts, Rita a essayé de rejoindre les moniales augustiniennes en Cascia. Rita n'a pas réussi au début parce qu'elle était veuve, mais elle a fini par réussir.
Au fil des ans, sa prière et sa charité sont devenues légendaires. Quand elle a développé des blessures sur son front, les gens les ont rapidement associées aux blessures de la couronne d'épines du Christ. Elle méditait fréquemment sur la passion du Christ. Elle s'occupait particulièrement bien des sœurs malades. Elle conseillait aussi les laïcs qui venaient à son monastère.
Béatifiée en 1626, Sainte Rita ne fut canonisée qu'en 1900. Elle a acquis la réputation, avec Saint Jude, d'être une sainte des cas impossibles. De nombreuses personnes visitent sa tombe chaque année.
Voyons plus en détail la vie de cette femme fabuleuse.
Rita (de son vrai nom Margherita Lotti) est née en 1381 dans la ville de Roccaporena, située dans une petite banlieue de Cascia (près de Spoleto, Ombrie, Italie) où divers sites liés à elle sont des centres de pèlerinage. Ses parents, Antonio et Amata Ferri Lotti, étaient connus pour être des personnes nobles et charitables, qui ont obtenu l'épithète Conciliatore di Cristo (Conciliateur du Christ).
Elle a été mariée à l'âge de douze ans à un noble nommé Paolo Mancini. Ses parents ont arrangé son mariage, une pratique courante à l'époque, malgré ses demandes répétées d'être autorisée à entrer dans un couvent de religieuses.
Son mari, Paolo Mancini, était connu pour être un homme riche, colérique et immoral, qui avait de nombreux ennemis dans la région de Cascia. Rita était une enfant mariée. Le mariage a duré dix-huit ans, au cours desquels on se souvient d'elle pour ses valeurs chrétiennes en tant qu'épouse et mère modèle qui a fait des efforts pour convertir son mari et tenter de le guérir de son comportement violent.
Après le meurtre de son mari par une autre famille, elle a cherché à dissuader ses fils de se venger. Rita a eu son premier enfant à l'âge de douze ans.
Rita a enduré insultes, sévices physiques et infidélités pendant de nombreuses années. Selon les récits populaires, grâce à l'humilité, à la gentillesse et à la patience, Rita a réussi à transformer son mari en une meilleure personne, renonçant plus spécifiquement à une querelle de famille connue à l'époque sous le nom de La Vendetta. Rita a finalement eu deux fils, Giangiacomo Antonio et Paulo Maria, et les a élevés dans la foi chrétienne. Au fur et à mesure que le temps passait et que la querelle familiale entre les familles Chiqui et Mancini s'intensifiait, Paolo Mancini devint sympathique, mais ses alliés le trahirent et Guido Chiqui, membre de la famille fâchée, le poignarda avec violence.
Rita a gracié publiquement les assassins de son mari aux funérailles de Paolo. Le frère de Paolo Mancini, Bernardo, aurait continué la querelle et espérait convaincre les fils de Rita de se venger. Bernardo convainquit les fils de Rita de quitter leur manoir et de vivre dans la maison ancestrale de la villa Mancini. Au fur et à mesure que ses fils grandissaient, leur caractère a commencé à changer à mesure que Bernardo devenait leur tuteur.
Les fils de Rita voulaient venger le meurtre de leur père. Rita, craignant que ses fils perdent leur âme, essaya de les persuader de ne pas riposter, mais en vain. En conséquence, elle a demandé à Dieu de prendre ses fils plutôt que de les soumettre à un péché mortel et à un meurtre possible. Ses fils sont morts un an plus tard, ce que les pieux catholiques croient être la réponse de Dieu à sa prière, les prenant par mort naturelle plutôt que de risquer qu'ils commettent un péché mortel punissable par l'enfer...
Après la mort de son mari et de ses fils, Rita a voulu entrer au monastère de Sainte Marie Madeleine en Cascia, mais elle a été refoulée. Bien que le couvent reconnaisse le bon caractère et la piété de Rita, les moniales avaient peur d'être associées à elle à cause du scandale de la mort violente de son mari. Cependant, elle a persisté dans sa cause et on lui a imposé une condition avant que le couvent puisse l'accepter : la tâche de réconcilier sa famille avec les meurtriers de son mari. Elle implora ses trois saints patrons (Jean-Baptiste, Augustin d'Hippone et Nicolas de Tolentino) de l'assister et se mit à la tâche d'établir la paix entre les partis hostiles de Cascia. Les récits religieux populaires rappellent que la peste bubonique, qui sévissait en Italie à cette époque, avait infecté Bernardo Mancini, le poussant à renoncer au fief de Chiqui pour se fâcher encore plus. Elle a pu résoudre les conflits entre les familles et, à l'âge de trente-six ans, a été autorisée à entrer au monastère.
Des légendes catholiques pieuses racontent plus tard que Sainte Rita a été transportée dans le monastère de Sainte Madeleine par lévitation la nuit dans la cour du jardin par ses trois saints patrons. Elle resta au monastère, vivant selon la Règle augustinienne, jusqu'à sa mort de tuberculose le 22 mai 1457.
Un premier miracle lui est attribué à peine 5 jours après sa naissance : le miracle des abeilles blanches. Les parents, qui étaient en train de s'occuper de la récolte, ont laissé Rita dans un berceau sous un arbre. 5 abeilles blanches se sont approchées d'elle, et ont commencées à entrer et sortir de sa bouche mais sans lui faire de mal, sans la piquer. Au lieu de ça, elle laissèrent du miel dans la bouche de la future Sainte. Un agriculteur, occupé par ses travaux dans un champ voisin, sa coupa profondément la main avec sa faux. Paniqué, il quitta le travail pour se faire soigner. Sur la route, passant prêt du berceau et voyant les abeilles bourdonner vers Rita, il a essaya de les chasser en agitant son membre blessé, qui guérit de façon étonnante. Tels furent les premiers miracles de Rita.
Petite fille frêle, douce, humble, obéissante et instruite (ses parents lui ont appris à lire et à écrire), elle fut fascinée dès son plus jeune âge par saint Jean, saint Augustin et saint Nicolas de Tolentino. Mais ses parents, comme le voulait la coutume à l'époque, à 12 ans marient Rita à Paolo di Ferdinando Mancini, homme violent, et après 3 ans elle l'épouse. 2 enfants naissent du mariage : Giangiacomo Antonio et Paolo Maria.
Paolo di Ferdinando Mancini s'est converti grâce à Rita, mais leur union a été brisée après 18 ans quand Paolo a été assassiné par ses anciens camarades. La famille Mancini voulait se venger, mais Rita refusa et ne voulu pas révéler les noms des tueurs. Quand elle vit que ses deux fils ne voulaient pas l'écouter, elle demanda à Dieu de les voir mourir plutôt que de poursuivre leurs desseins sanglants. Peu de temps après, les deux frères tombèrent malades et moururent. Laissée seule, à 36 ans, elle a tenté d'entrer au monastère Augustinien de Santa Maria Maddalena en Cascia. Mais elle a été refusée 3 fois, pour son état de veuvage et parce qu'il y avait dans le monastère une religieuse liée à la famille de Paul, offensée par la réticence de la Sainte.
Ce n'est qu'après avoir pacifié les deux familles de duel que Rita entre dans le monastère, en 1407 : selon la légende, les 3 saints patrons saint Augustin, saint Jean-Baptiste et saint Nicolas de Tolentino l'auraient emmenée du rocher où Rita allait à Roccaporena pour prier, directement dans le chœur.
Elle demeura au monastère jusqu'à sa mort, le 22 mai 1457, à l'âge de 76 ans. Et on dit que Rita a accompli au moins 5 autres miracles avant sa mort : le miracle de la vigne, toujours à l'intérieur du lieu de culte ; celui de l'épine (stigmates) de la couronne du Christ sur le front, que Rita a portée dans les 15 dernières années de sa vie, à l'exception du voyage à Rome pour la canonisation de Saint Nicolas, quand elle a disparu puis est revenue à Cascia ; peu avant sa mort, alitée, elle demanda à son cousin d'apporter une rose et deux figues du foyer. C'était l'hiver, mais les fruits étaient là et son cousin les lui a apportés.
Et la rose devint le symbole de Sainte Rita par excellence, une femme frêle et humble réussit à s'épanouir malgré les épines que la vie lui avait réservée, donnant la bonne odeur du Christ et dissolvant l'hiver froid de beaucoup de cœurs ; le jour de sa mort, on vit dans le couvent une nuée d'abeilles noires (appelée "murarie"), et elles avaient encore leur nid près des vignes ; les cloches de l'églises se mirent à sonner d'elles-mêmes.
Un autre miracle s'est produit quand vint le temps de célébrer ses funérailles. Un charpentier, Cicco Barbari, était récemment devenu invalide aux mains, incapable de travailler. En voyant le corps de Rita, il a dit : "Oh, se non fossi'struppiato', la farei io questa cassa !" ("Oh, si je n'étais pas infirme, j'aurais fabriqué le cercueil !").
Le charpentier fut immédiatement guéri, et les religieuses lui commandèrent la construction du cercueil.
Encore aujourd'hui, on dit que chaque fois que Rita intercède pour un miracle, son corps, encore conservé dans la Basilique de Sainte-Rita de Cascia, dégage un parfum de roses. Elle est aussi appelée "Sainte des Roses" et "Sainte des Épines" ou encore "Sainte des Impossibles", vu le nombre de miracles conférés.
Elle fut bénie 180 ans après sa mort, en 1627, sous le pape Urbain VII. Elle a été canonisée lors du Jubilé de 1900 par le Pape Léon XIII.
Cascia célèbre chaque année son Saint Patron le 22 mai avec la fête de Sainte Rita et les célébrations de la Ritiane.
Si Sainte Rita appartient à cette merveilleuse bande d'élus qui ont été saints dès leur berceau, il faut dire qu'elle a eu besoin de toute l'aide possible de cette sainteté, pour lui avoir permis de supporter les épreuves et les difficultés dont elle a été remplie pendant la majeure partie de sa vie.
Sainte Rita est souvent invoquée comme sainte patronne des cas impossibles. Ainsi, lorsque nous commençons à nous sentir désespérés ou à penser que ce que nous désirons est impossible, c'est une grande sainte vers qui nous tourner dans nos besoins apparemment impossibles.
Sainte Rita de Cascia, prie pour nous !
Prière Vierge Marie 1
Je vous salue Marie
Je Vous salue Marie, pleine de grâces,
le Seigneur est avec Vous,
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
priez pour nous pauvres pécheurs,
maintenant et à l'heure de notre mort.
Amen.
Prière Vierge Marie 2
Bénie soit ta pureté
Bénie soit ta pureté,
Qu'elle soit bénie pour toujours,
Car rien de moins n'existe que la joie de Dieu,
Dans une telle beauté exaltée.
À toi, princesse céleste,
Sainte Vierge Marie,
J'offre en ce jour
Tout mon cœur, toute ma vie et toute mon âme.
Regarde-moi avec compassion,
Ne me quitte pas, ma Mère.
Amen.
Prière Vierge Marie 3
Marie, je te regarde et je te dis merci
Je vous salue, Sainte Reine.
Salutations à Marie
Ces salutations à Mère Marie ont été écrites par Saint Jean Eudes et promues dans cette version par le Serviteur de Dieu, le Père Paul de Moll. Nous pouvons réciter ces salutations à la Bienheureuse Vierge Marie pour la conversion des pécheurs.
Prière Vierge Marie 6
Souviens-toi de tes enfants
Demande à Notre Dame
Prière Vierge Marie 8
Prière Vierge Marie 9
Prière Vierge Marie 10
Prière Vierge Marie 12
Ô, MÈRE CONSOLATRICE (Jean-Paul II)
Toi qui connaît nos douleurs et nos peines,
Toi qui a souffert de Bethléem au calvaire,
Console tous ceux qui souffrent dans leurs corps et dans leur âme.
Tous ceux qui sont dans la dispersion et le découragement,
Tous ceux qui ressentent un ardent besoin d’aimer et de donner.
O Mère consolatrice, console nous tous,
Aide-nous à comprendre que le secret du bonheur
Est dans la fidélité et la bonté de ton fils Jésus.
Nous te rendons gloire et nous t’offrons des actions de grâces
Maintenant et toujours.
Prière Vierge Marie 13
Prière Vierge Marie 14
Demande et supplie pour moi
Prière Vierge Marie 16
Prière Vierge Marie 17
MARIE, JE TE REGARDE ET TE DIS MERCI (André Sève)
Marie je te regarde et je te dis merci.
Merci d’avoir porté Jésus et de l’avoir mis au monde, élevé,
Et d’avoir accepté sa mort pour nous.
Marie, je te regarde et je t’admire.
J’admire ta foi, ton silence méditatif,
Ta manière de faire exactement ce que le Seigneur attendait de toi.
Marie, je te regarde et je te prie de m’aider à bien comprendre Jésus,
A entendre ses appels, à aller jusqu’au bout de ce qu’il me demande.
Prière Vierge Marie 18
Prière Vierge Marie 19
SALVE REGINA
Nous te saluons, Reine, Mère de miséricorde,
Notre vie, notre douceur et notre espoir, nous te saluons.
Enfants d’Eve, nous crions vers toi dans notre exil.
Vers toi, nous soupirons, gémissant et pleurant dans cette vallée de larmes.
Toi, notre avocate, tourne vers nous tes yeux de miséricorde.
Et après l’exil de cette vie, montre-nous Jésus,
Le fruit béni de ton amour.
O mère clémente, mère très bonne, mère très douce, Vierge Marie
Prière Vierge Marie 20
Prière de Pie X à la Vierge Marie
Ô Mère de miséricorde secours des chrétiens, ministre très fidèle de la divine Providence, trésorière de toutes les grâces, souvenez-vous qu’on n’a jamais entendu dire en ce monde que vous avez laissé sans consolation ceux qui eurent pieusement recours à vous.
C’est pourquoi, plein de confiance dans la tendresse de votre pitié et dans votre très généreuse protection, je me prosterne humblement à vos pieds, afin que vous daigniez écouter mes prières.
Obtenez-nous de la divine Providence les grâces nécessaires dans tous nos besoins spirituels ; obtenez-nous aussi la providence temporelle qui nous permette de faire face aux nécessités de la vie en cette vallée de larmes.
Je recommande avec ferveur à votre cœur aimant et maternel la Sainte Église, le Souverain-Pontife, la conversion des âmes, la propagation de la foi catholique, ainsi que les épouses élues du Seigneur, qui souffrent dans les flammes atroces du Purgatoire, afin qu’elles reçoivent sans délai la consolation de l’éternel rafraîchissement.
Amen.
Prière Vierge Marie 21
J'irai la voir bientôt
Vierge Marie,
au soir de ma vie,
je viens te confier
mes dernières années.
Quel que soit notre âge,
au fond nous,
il y a toujours un enfant
qui cherche une main secourable,
un visage pour lui sourire,
une voix pour le rassurer,
un cœur pour l'aimer.
Oui, j'ai encore besoin d'une mère.
Cette mère, c'est toi, Marie.
Je suis ton enfant.
Tu me portes sans cesse
dans ton cœur et dans ta prière.
Prends mes peines,
mes souffrances,
mes infirmités,
donne-leur tout leur poids d'éternité.
Prends mes joies.
Elles n'ont plus l'éclat de la fête,
mais elles sont douces comme le
soir d'un beau jour.
Aide-moi, Marie,
à vivre chaque jour
comme si c'était le dernier.
Apprends-moi à voir,
avec ton regard,
les personnes et les événements,
à placer tous mes jugements,
toutes mes paroles,
toutes mes actions
sous le signe de l'amour.
Dis " Merci " à ton Fils Jésus,
pour mon baptême
et les autres sacrements,
pour ses appels entendus dans mon cœur,
pour le bien que j'ai pu faire.
Remercie-le
pour l'amitié partagée,
pour tous ces petits bonheurs
semés sur la route de ma vie,
et aussi pour les épreuves
qui m'ont rapproché de lui.
Demande au Seigneur
de pardonner mes péchés,
mes hésitations et mes résistances
devant les attentes de son amour.
Étoile du matin,
toi qui brilles dans le ciel,
guide mes derniers pas
jusqu'au paradis,
pour la rencontre éternelle
dans la joie du Père.
Amen.
Prière Vierge Marie 22
Lumière de la foi
Prière Vierge Marie 23
Étape 1 - Tenez en vos mains un chapelet, caresser doucement votre croix puis faites un signe de la croix.
(Prière d'ouverture facultative)
Tu t'es éteins, Jésus, mais la source de vie a jailli pour les âmes, et l'océan de miséricorde s'est ouvert au monde entier. Ô Source de Vie, Miséricorde divine insondable, enveloppe le monde entier et vide Toi-même sur nous.
(Répéter trois fois) Ô Eau et Sang, qui jaillit du Cœur de Jésus comme une fontaine de miséricorde pour nous, j'ai confiance en Toi !
Étape 2 - Sur les trois grosses perles du chapelet, priez le Notre Père, le "Je vous salue Marie" et le "Je crois en Dieu".
Notre Père :
Notre Père qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne, que ta volonté soit faite, sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour,
Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés
Et ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre-nous du mal.
Amen.
Je vous salue Marie :
Je vous salue, Marie pleine de grâce ;
Le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen
Je crois en Dieu :
Je crois en Dieu, le Père tout-puissant, créateur du ciel et de la terre ;
et en Jésus-Christ, son Fils unique, notre Seigneur, qui a été conçu du Saint-Esprit,
est né de la Vierge Marie, a souffert sous Ponce Pilate, a été crucifié, est mort et a été enseveli,
est descendu aux enfers, le troisième jour est ressuscité des morts, est monté aux cieux,
est assis à la droite de Dieu le Père tout-puissant, d’où il viendra juger les vivants et les morts.
Je crois en l’Esprit-Saint, à la sainte Eglise catholique, à la communion des saints, à la rémission des péchés, à la résurrection de la chair, à la vie éternelle.
Amen.
Étape 3 - Sur les gros grains, récitez cette prière:
Père éternel, je t'offre le corps et le sang, l'âme et la divinité de ton Fils bien-aimé, Notre Seigneur Jésus Christ, en expiation pour nos péchés et ceux du monde entier.
Étape 4 - Sur les 10 petits grains, dire chaque fois :
Par sa douloureuse Passion, sois miséricordieux pour nous et pour le monde entier.
Répétez les étapes 3 et 4 pour chaque dizaine sur le chapelet.
Étape 5 - Une fois que vous avez prié les 5 dizaines, vous terminez en récitant la prière suivante 3 fois : Dieu Saint, Dieu Puissant, Dieu Immortel, Dieu Éternel, prends pitié de nous et du monde entier.
(Prière de clôture facultative) Dieu éternel, en qui la miséricorde est sans fin et le trésor de la compassion inépuisable, regarde avec bonté et augmente ta miséricorde en nous, afin que, dans les moments difficiles, nous ne désespérions ni ne devenions découragés, mais que nous nous soumettions avec une grande confiance à ta Sainte volonté, qui est amour et miséricorde. Amen.
Étape 6 - Terminer par le signe de croix.
Faire le signe de croix est peut-être l'action la plus courante de toutes les actions que font les catholiques. Nous le faisons quand nous commençons et terminons nos prières ; nous le faisons quand nous entrons et sortons d'une église ; nous commençons chaque messe avec elle ; nous pouvons même le faire quand nous entendons le Saint Nom de Jésus et quand nous passons devant une église catholique.
Priez vous aussi le chapelet de la miséricorde divine avec nos Chapelets Catholiques.
Ce chapelet est une prière très puissante. Il peut être prié à tout moment, mais il est souvent prié dans le contexte de la neuvaine de la miséricorde divine. Le Chapelet de la Miséricorde Divine est une dévotion relativement récente mais très populaire révélée par Notre Seigneur à Sainte Faustine Kowalska, une moniale polonaise. Le vendredi Saint 1937, le Christ apparut à Sainte Faustine et lui demanda de réciter ce chapelet pendant neuf jours, du Vendredi Saint à l'Octave de Pâques (le dimanche suivant le dimanche de Pâques), maintenant connu sous le nom de dimanche de la Miséricorde Divine.
Le chapelet est le plus souvent récité pendant ces neuf jours, mais il peut être prié à tout moment de l'année, et Sainte Marie Faustine le récitait presque sans cesse. Un chapelet standard peut être utilisé pour réciter le chapelet, et la dévotion entière ne prend que 20 minutes - environ le temps qu'il faut pour prier le chapelet.
C'est une bonne idée de réciter le chapelet de la Divine Miséricorde tous les jours, ou au moins pendant neuf jours consécutifs, de préférence à 15 heures, l'heure où Jésus a donné sa vie pour nous. Dans un de ses journaux intimes, Sœur Faustine écrit que Jésus, lui parlant de sa mort, lui a dit : "En cette heure-là, tu auras tout pour toi et pour les autres ; en cette heure où la grâce a été donnée au monde entier, la miséricorde a gagné la justice." Réciter le chapelet à ce moment-là, c'est comme si nous nous trouvions avec l'esprit sous la Croix du Christ, et implorons la miséricorde de Dieu pour nous et pour le monde entier, en vertu de sa passion. Jésus dit à Sœur Faustine : "A trois heures de l'après-midi, implore Ma Miséricorde surtout pour les pécheurs et même pour un bref instant plonge-toi dans Ma Passion, surtout dans mon abandon au moment de la mort. C'est une heure de grande miséricorde pour le monde entier."
Sainte Faustine est née Hélène Kowalska dans le village de Glogowiec, à l'ouest de Lodz, en Pologne, le 25 août 1905. Elle était la troisième de dix enfants. Alors qu'elle avait presque vingt ans, elle est entrée dans la Congrégation des Sœurs de Notre-Dame de la Miséricorde, dont les membres se consacrent au soin et à l'éducation des jeunes femmes en difficulté.
L'année suivante, elle reçut son habit religieux et reçut le nom de Sœur Marie Faustine.
Dans les années 1930, Sœur Faustine reçut du Seigneur un message de miséricorde qu'on lui dit de répandre dans le monde entier. On lui a demande de devenir l'apôtre et la secrétaire de la miséricorde de Dieu, un modèle de miséricorde envers les autres et un instrument pour mettre à nouveau l'accent sur le plan de miséricorde de Dieu pour le monde. Tout au long de sa vie, Faustine a raconté avoir eu des visions de Jésus qu'elle a consignées dans son journal intime, publié plus tard sous le titre Le Journal de Sainte Marie Faustine Kowalska : Miséricorde Divine dans mon âme.
Son confesseur, le Père Michal Sopocko, a soutenu sa dévotion à la Miséricorde Divine. Faustine et Sopocko ont dirigé un artiste pour peindre la première image de la Miséricorde Divine, basée sur la vision que Faustine avait eu de Jésus. Sopocko a utilisé l'image pour célébrer la première messe le premier dimanche après Pâques. Par la suite, le Pape Jean-Paul II a institué la fête de la Miséricorde Divine le dimanche de chaque année liturgique.
Le message de miséricorde que Sœur Faustine a reçu se répand maintenant dans le monde entier, elle a été reconnue par l'Église comme une "sainte", et son journal est devenu le manuel de dévotion à la Miséricorde Divine.
L'Église catholique romaine a canonisé Faustine en tant que sainte le 30 avril 2000.
La prière du chapelet de la Miséricorde Divine trouve son origine dans une vision que Sainte Faustine eut le 13 septembre 1935. Dans la vision, elle a vu un ange envoyé dans une ville pour la détruire. Elle commença à prier pour la miséricorde de Dieu sur la ville et sentit la forte présence de la Sainte Trinité. Après qu'elle ait prié, l'ange fut impuissant et ne pu faire de mal à la ville. Dans les visions qui suivirent, sainte Faustine apprit que les prières qu'elle disait devaient être enseignées à tous les peuples du monde.
Selon le récit de sainte Faustine, les prières du chapelet pour la miséricorde sont au nombre de trois : obtenir la miséricorde, faire confiance à la miséricorde du Christ et faire miséricorde aux autres. Elle a écrit que Jésus a promis que tous ceux qui récitent ce chapelet à l'heure de la mort ou en présence des mourants recevront une grande miséricorde. Elle a écrit que Jésus a dit :
"....Quand ils diront ce chapelet en présence des mourants, Je me tiendrai entre Mon Père et les mourants non pas comme le juste juge mais comme le Sauveur Miséricordieux."
Sainte Faustine a également déclaré que Jésus a promis que tout peut être obtenu par cette prière si elle est compatible avec sa volonté.
Selon la tradition catholique, le chapelet peut être dit à tout moment, mais il est dit surtout le dimanche de la Miséricorde Divine et le vendredi à 15 heures (l'heure à laquelle Jésus est mort par crucifixion, 15 heures, est appelée l'Heure de la Miséricorde). A Hong Kong, la "Prière de 15 heures" est diffusée tous les jours à 15 heures sur les chaînes de radio et de télévision.
Dieu nous courtise, nous aime, nous protège, il aspire à nous, à notre confiance et à notre foi. Comme un être cher dans notre vie, qui veut juste être proche, Dieu veut que nous soyons proches de Lui. Même si vous ne connaissez pas Dieu, Dieu vous connaît et Il vous aime. N'hésitez pas à répondre à son amour, Il veut simplement répandre sa miséricorde sur vous.
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En tant que chrétien célibataire, avez-vous le sentiment que Dieu a quelqu'un de spécial en tête pour vous mais que vous ne l'avez pas encore trouvé ? Sâchez-le, quelqu'un de spécial vous cherche aussi. Les sites de rencontre devenant la norme, je pense qe nous devrions nous rendre service et approfondir le sujet des rencontres en ligne entre chrétiens.
«Une femme est liée à son mari aussi longtemps qu'il vivra. Mais si son mari meurt, elle est libre d'être mariée à qui elle veut, seulement dans le Seigneur »( Corinthiens 7:39). Ainsi, un chrétien n'est pas libre de se marier en dehors du Seigneur. Ou encore Corinthiens 6:14: «Ne soyez pas sous le joug de non-croyants.» Bibliquement, le disciple du Christ est le suivant : Épouserez-vous seulement un croyant ? Ou et comment rencontrer des chrétiens en ligne ?
Ce qui m'attriste, c'est combien de croyants sont tellement empêtrés émotionnellement dans l'incroyant qu'ils abandonnent leurs convictions pour voir l'autre comme un croyant quand il ne l'est pas. Alors permettez-moi de préciser certaines choses. Un croyant mature voudra que son conjoint ne se contente pas de professer une croyance ou soit disposé à aller à l'église. Ce qu'ils voudront, ce n'est pas seulement un mariage minimalement chrétien, mais un mariage chrétien. Et un mariage chrétien est décrit ainsi dans Éphésiens 5: 22-24: «Femmes, soumettez-vous à vos maris, comme au Seigneur. Car le mari est la tête de la femme comme Christ est le chef de l'église...Maris, aimez vos femmes, comme Christ a aimé l'église et s'est livré pour elle».
Cela signifie qu’une femme chrétienne ne cherchera pas un homme qui porte juste une croix tatouée sur l’épaule, mais un homme qui est prêt à porter sur ses épaules ses proches et à fièrement affronter l’appel sacrificiel de diriger une maison. Un homme chrétien ne cherchera pas une femme qui porte juste une croix autour de son cou, mais une femme qui est prête à suivre son mari dans toutes les épreuves de la vie tout en étant épaulés par Dieu. Le mari et la femme sont constamment en train de renoncer à eux-mêmes alors qu'ils vivent la beauté du mariage chrétien.
Jésus a dit: «Quiconque ne porte pas sa propre croix et ne vient après moi ne peut être mon disciple» (Luc 14:27).
Revenons maintenant à Internet. Si vous savez ce que vous recherchez, comme j'ai essayé de le décrire, je pense que vous pourriez écarter beaucoup de prétendants en utilisant Internet. Il ne faudra pas longtemps pour apprendre de Facebook, Twitter ou autre réseau social pour savoir si cet homme ou cette femme est passionné(e) par Jésus ou si Jésus est une marque accessoire sur l’épaule ou un bijou autour du cou.
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Deux individus associés valent mieux qu’un seul. À deux, ils obtiennent un meilleur résultat pour leur travail. Si l’un des deux tombe, l’autre le relève. Au contraire, celui qui est seul, est bien malheureux. S’il tombe, il n’y a personne pour le relever. (Ecclésiaste 4.9-10)
L'avantage de ce genre de site de rencontre entre chrétien est que si tout va bien, vous avez probablement mémorisé chaque mot du profil de l’autre personne et vous vous demandez comment vos propres excentricités pourraient ou non se mélanger à ce que vous avez lu. Si vous êtes un homme, vous avez probablement pensé à la façon dont le prénom de la fille sonnerait avec votre nom de famille. Tout cela se produit avant même de vous retrouver dans ce restaurant pour le déjeuner (le déjeuner est toujours un bon endroit pour commencer).
Savoure la vie avec la femme que tu aimes, chaque jour de cette vie de vanité qui t’est donnée sous le soleil, tous ces jours de vanité… Voilà ton lot dans la vie et dans la peine que tu prends sous le soleil. (Ecclésiaste 9:9)
Trouver votre conjoint pour toujours est une tâche qui prend du temps et de la patience. Cependant, avec la technologie moderne, il est incroyablement facile de se connecter rapidement à un grand groupe de nouvelles personnes. Cela a créé un tout nouveau monde de rencontres en ligne. Les gens utilisent différentes applications téléphoniques, sites Web ou simplement leurs médias sociaux pour trouver des intérêts amoureux potentiels.
Rencontrer en ligne peut être un excellent moyen de rencontrer des gens, mais vous devez toujours faire confiance à Dieu tout au long du processus. Chaque étape du voyage de rencontres devrait être utilisée pour le glorifier. Dieu devrait être votre marieur ultime, dites-vous donc qu’il fait ce qui est juste pour vous et n’exercez pas trop de pression sur vous-même.
Avec la prière, l'intention, la direction et la prudence, une personne peut éviter les dangers et récolter les fruits de grandes amitiés et, peut-être, un jour du mariage. Il y a une abondance d'hommes et de femmes chrétiens prêts à rencontrer celui qu'ils aimeront pour toujours, alors n'hésitez pas à vous connecter et à essayer de trouver la personne qui vous convient !
La croix est une grande contradiction. La mort et la vie, la haine et l'amour, la violence et la paix, l'accusation et le pardon, le péché et la pureté, la brisure et la complétude, tout est perdu, tout est gagné, destruction et restauration, défaite et victoire. Jadis la forme la plus cruelle d’exécution, c’est maintenant un symbole de vie abondante. Dans le christianisme, la croix est le point de rencontre de l’amour de Dieu et de sa justice. Jésus-Christ est l'Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde (Jean 1:29).
La croix signifie beaucoup de choses pour beaucoup de gens. Certains l'ont sur les doigts, sur une bague, d'autres la portent autour du cou et certains même sur des drapeaux religieux. Mais qu'est-ce que la croix ?
Jésus-Christ est mort pour les pécheurs. Il est mort pour des gens qui s'étaient égarés. Il n'est pas mort parce que cela lui a été imposé. C'était un choix. Un choix fait en amour.
Mais Dieu a montré son grand amour pour nous en envoyant Le Christ mourir pour nous alors que nous étions encore pécheurs (Romains 5: 8).
Jésus aime toujours les pécheurs. Il est venu et a donné sa vie pour eux. Le message de la Croix reste un cadeau d’amour pour les indignes. La Croix est avant tout un symbole d'amour.
†
La croix chrétienne rappelle aux chrétiens la victoire de Jésus sur le péché et la mort, car la mort et la résurrection de Jésus ont vaincu la mort elle-même. De cette façon, le sens de la croix a été réhabilité d'un instrument romain de la peine capitale à symbole d'amour, d'expiation et de sacrifice du Christ au Calvaire - " l'Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde ".
Dans la plupart des religions, les gens s'efforcent d'atteindre la divinité. Le christianisme est la seule religion où Dieu s'est étendu jusqu'à nous. Notre réponse à un tel Dieu est de le connaître personnellement. Jésus est mort pour pouvoir vous connaître. C'était personnel.
Je veux connaître le Christ ... Je veux souffrir avec lui, partageant sa mort(Philippiens 3:10).
Comme nous l'avons noté, Dieu est un Dieu d'amour. Il pourrait facilement empêcher notre mort spirituelle - Dieu est Dieu, donc il peut faire absolument tout ce qu'il veut. Et ce qu’il souhaite. C'est ainsi, Dieu nous a donné la liberté, la liberté de choisir; l'aimer ou lui désobéir. Si nous choisissons de lui désobéir, c'est notre choix. Et nous devons payer la peine, qui est la mort spirituelle (séparation de Dieu). Si Dieu négligeait le péché de l'homme, cela enlèverait la liberté de l'homme et nous ne serions pas humains.
La mort de Christ était un acte de sa volonté. Dans Philippiens 2: 7-8, Paul déclare que Jésus s'est humilié dans l'obéissance et est mort d'une mort criminelle sur la Croix. Parfois, nous pensons à tort qu'il a pris cette décision en tant que Dieu. Jésus est venu à la conclusion de mourir pour l'humanité en tant qu'être humain. Il voulait que sa chair, son esprit et ses émotions meurent sur la Croix.
Et par cette volonté (c'est la volonté de Jésus en tant qu'être humain et non la volonté de Dieu), nous avons été sanctifiés par le sacrifice du corps de Jésus-Christ une fois pour toutes (Hébreux 10:10).
Jésus-Christ pouvait choisir de vivre à sa guise, mais il a choisi de donner sa vie pour notre bien. Galates 2:20 dit que nous avons été crucifiés avec Christ - au passé. En tant que chrétiens, nous devons être morts à notre volonté, comme le fut le Christ. La prière de notre vie devrait être: "Ce n’est pas ma volonté, mais que la vôtre soit accomplie". Et comme Jésus, il est de notre responsabilité de donner suite à notre prière. Être dans la volonté de Dieu n'est pas une chose passive. C'est un acte de volonté.
Il y a beaucoup de prophéties sur la croix dans la Bible, de la Genèse à l'Apocalypse. Depuis le début des temps, Dieu a prévu de sauver l'humanité des griffes du mal par une mort atroce sur une croix.
Pourtant, c’était nos faiblesses qu’il portait; ce sont nos chagrins qui l'ont alourdi. Et nous pensions que ses ennuis étaient une punition de Dieu, une punition pour ses propres péchés ! Mais il a été transpercé pour notre rébellion, écrasé pour nos péchés. Il a été battu pour que nous puissions être entiers. Il a été fouetté pour que nous puissions être guéris (Esaïe 53: 4-5).
Il était défiguré, tourmenté, complètement maltraité. Mais non seulement sa punition était prophétisée, notre expiation aussi. Percé pour le péché. Battu pour son intégrité. Fouetté pour guérir. Un échange divin. Des bénédictions pour les malédictions, la complétude pour les fractures, l'injustice pour la sainteté. La rédemption a été prophétisée.
En tant que symbole chrétien, la croix chrétienne puisse ses racines dans le paganisme ancien (religion des païens). L'utilisation de la croix chrétienne comme symbole chrétien a commencé après l'époque de Constantin (272 - 337 après Jésus-Christ), qui a eu lieu trois siècles après la merveilleuse venue du Christ. La crucifixion suivie de la mort de Jésus sur la croix ont conféré une nouvelle signification à l'usage de la croix dans le christianisme. Avant la mort de Jésus sur la croix, la croix était utilisée en privé par les chrétiens. Son but était restreint. Après l'époque de Constantin, l'usage de la croix a été reconnu comme un symbole du christianisme.
Constantin Ier (Empereur romain), 272-337 après J-C.
La croix sur laquelle Jésus a été exécuté il y a 2000 ans est un symbole pour ses disciples depuis le tout début. Toutefois, au début, ils avaient peur de l'afficher publiquement car ils avaient la crainte, a raison, d'être persécutés ou moqués, ou tués. Mais après la conversion de l'empereur Constantin au christianisme au IVe siècle, la crucifixion fut abolie comme punition et la croix fut promue comme symbole du Fils de Dieu.
Si votre désir est de pouvoir visualiser ce qu'a enduré Jésus avant qu'il ne soit tué, pour "témoigner" de la brutalité horrible qu'il a endurée pour vous, le film La Passion du Christ de monsieur Mel Gibson le fera pour vous. C'est probablement le film le plus précis jamais réalisé pour montrer ce qui a été fait à Jésus-Christ par les Romains, jusqu'à la crucifixion. La croix chrétienne tient une grande place dans ce film, elle est constamment présente. Ce film est toutefois très violent et réservé à un public adulte et averti.
Cependant beaucoup de ceux qui ont vu le film se demandaient pourquoi les deux voleurs, un de chaque côté du Christ, étaient crucifiés sur des croix en forme de T, comme cela s'est réellement produit, alors que le personnage du Christ était crucifié sur le crucifix romain-catholique traditionnel (la croix chrétienne que l'on connait toutes et tous), ce qui ne s'est pas produit. Les producteurs du film savaient évidemment à quoi ressemblaient vraiment les croix puisque les deux voleurs étaient montrés en train d'être exécutés comme cela s'est réellement passé, mais ils ont ensuite choisi de propager une tradition non biblique en mettant le Christ sur un crucifix fictif. Le Christ a bel et bien été crucifié sur une croix en forme de "T".
Il y a des endroits dans le monde où des chrétiens sont persécutés, jusqu'à la mort, pour leur foi. Ils savent ce que signifie porter leur croix et suivre Jésus d'une manière très réelle. Pour ceux d'entre nous qui ne sont pas persécutés de la sorte, notre travail consiste toujours à rester fidèle à Christ. Nous devons être disposés à le faire par amour pour Celui qui nous a sauvés et a donné sa vie pour nous.
Comme nous l'avons vu précédemment, avant l'époque de l'empereur Constantin au 4ème siècle, les chrétiens étaient extrêmement réticents à l'idée de porter la croix, car une exposition trop ouverte risquerait de les exposer au ridicule ou au danger. Après sa conversion au christianisme, Constantin abolit la crucifixion en tant que peine de mort et promut, en tant que symbole de la foi chrétienne, la croix du nom du Christ. Ce symbole est devenu immensément populaires dans l'art chrétien et les monuments funéraires à partir de 350.
Aujourd'hui, l'utilisation de la croix en tant que symbole chrétien est pratiquée universellement. Les églises, catholiques et protestantes ont des croix placées, gravées ou dessinées sur les portes, les fenêtres, les dessus et les murs de leurs bâtiments d’église. De nombreux chrétiens du monde entier portent la croix sur leurs colliers, bracelets, bagues, vêtements, chapelets et médailles. En outre, de nombreux chrétiens, notamment catholiques, font le signe de la croix lors du culte. En faisant le signe, les gens touchent leur front, leur poitrine, puis chaque épaule. Beaucoup pensent que le signe de la croix est efficace pour les protéger du mal et éloigner les mauvais esprits.
La croix chrétienne est souvent représentée sous différentes tailles et sous différentes formes, et dans de nombreux styles différents. Elle peut être utilisée sur les bâtiments d'église ou ornée sur des bijoux personnels. Dans les pays catholiques romains, les croix chrétiennes sont souvent érigées sur les sommets de montagnes, afin d'être visibles sur toute la région environnante. Les croix sont une caractéristique importante des cimetières chrétiens, qu'elles soient sculptées sur des pierres tombales ou sous forme de stèles sculptées. De même, l'insertion de petites croix est parfois utilisée dans les pays de culture chrétienne pour marquer le lieu d'accidents mortels ou pour protester contre des morts présumées.
Il est possible de dire que la croix permet à de nombreux chrétiens de se sentir mieux dans leur vie au quotidien. À l'instar du yoga ou de la lithothérapie, la croix permet de se réconcilier avec son corps, avec soi-même, avec ses envies et ses intentions profondes.
Tant de gens regardent la croix et pourtant, gardent leurs blessures, leurs souffrances et leurs problèmes passés. Ils n’appartiennent plus à votre dos, Jésus les a pris à lui. Le sang versé sur la croix serait le signe pour que l'Ange de la Mort «passe» la maison de vos péchés, laissant ceux qui sont couverts de sang en sécurité. La dette est payée. Regardez à la croix et recevez votre salut.
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]]>Jésus de Nazareth a sans nul doute été l'une des personnes les plus influentes de l'histoire de l'humanité. À ce jour, plus de deux milliards de personnes dans le monde affirment être ses partisans, plus que toute autre religion. Le christianisme est responsable d’un nombre impressionnant d’avancées dans l’histoire de la civilisation - dans les domaines de l’éducation, de la médecine, du droit, des beaux-arts, de la défense des droits de l’homme et même dans le domaine des sciences naturelles (fondé sur la conviction que Dieu a conçu l’univers de manière ordonnée et en laissant des indices pour que les gens en apprennent davantage). Mais qui était Jésus ? Était-il un personnage historique ? Jésus était-il juste un grand homme, un enseignant extraordinaire et un grand prophète ? Peut-il être trouvé en dehors de la littérature biblique et confirmé dans les livres d'histoire ? Il n'y a pas d'érudit légitime qui nie que Jésus a existé. Une quantité incroyable de sources historiques parlent de cet homme nommé Jésus. C’est étonnant de constater que l'épopée de Jésus s’est déroulée dans un petit coin de l’empire romain et qu’une grande partie d’Israël a été détruite en 70 après J.-C. Des villes entières ont été brûlées, emportant preuves et témoins oculaires.
Voyons quelques sources historiques laïques qui répondent à la question "Qui était vraiment Jésus ? ".
Publius Cornelius Tacitus dit "Tacite" (55 - 120 ap. J.-C.) était sénateur et historien de l’empire romain du premier siècle. Il mentionne les "chrétiens" ("disciples du Christ") qui ont souffert sous Ponce Pilate.
Suétone était secrétaire et historien d'Hadrien, empereur de Rome de 117 à 138 ap. J.-C. Il est crédité d'un autre élément de preuve important dans les discussions sur le Jésus historique. Dans ses œuvres, il parle de Chrestus (ou Christ) qui a vécu au premier siècle.
Le plus célèbre historien juif est Flavius Josèphe (37 - 100). Dans ses œuvres, il fait référence à Jacques «le frère de Jésus appelé Christ».
Pline le Jeune (62 - 113 ap. JC) était le gouverneur romain de Bithynie (Turquie du nord-ouest actuelle). Vers 111 ou 112 après JC, il écrivit une lettre à l'empereur Trajan de Rome pour lui demander conseil sur la manière de traiter avec les chrétiens. Il parle de la façon dont ils ont adoré Jésus comme Dieu.
D'autres sources historiques mentionnent également Jésus - Julius Africanus, le Talmud de Babylone, Lucien de Samosate, Mara bar Sérapion et divers écrits gnostiques.
Il existe de nombreuses preuves de l'existance de Jésus dans des sources historiques séculaires. Nous pouvons presque reconstruire l’Évangile à partir de sources non chrétiennes anciennes : Jésus était appelé le Christ (Josèphe), faisait de la "magie", entraînait Israël dans de nouveaux enseignements mais a prétendu être Dieu et reviendrait (Eliézer), ce que ses disciples ont cru, l'adorant comme Dieu (Pline le Jeune).
La Bible répond clairement à la question "Qui était Jésus". La Bible explique que Jésus a eu une enfance modeste, étant né dans une étable à Bethléem. Il y a un peu plus de 2 000 ans, un ange nommé Gabriel est apparu à une jeune femme juive nommée Marie. Gabriel dit à Marie qu'elle aurait un fils, Jésus, qui serait le Fils de Dieu. Marie était confuse et inquiète à propos de cette nouvelle soudaine, mais elle avait foi en Dieu et dit: "Je suis la servante du Seigneur; que ce soit comme vous le dites."
Marie et son futur mari, Joseph, vivaient dans une ville appelée Nazareth. Mais ils devaient se rendre dans la ville de Bethléem pour s’inscrire à un recensement ordonné par l’empereur romain César Auguste. Nazareth et Bethléem se trouvent dans le pays appelé maintenant Israël. Il y a environ 105 km entre Nazareth et Bethléem, et le voyage leur a probablement pris plusieurs jours.
Quand Joseph et Marie sont arrivés à Bethléem, ils n’avaient aucun endroit où rester car l’auberge était déjà pleine. Ils ont fini par passer la nuit dans une écurie, un endroit où les animaux étaient gardés. Il y avait probablement du foin frais sur le sol qu'ils utilisaient comme lits.
Cette nuit-là, Jésus est né. Il n'y avait pas de berceau, ils ont donc placé l'enfant Jésus dans une mangeoire, une mangeoire pour animaux.
Cette nuit-là, des bergers étaient dans les champs près de Bethléem, surveillant leurs troupeaux de moutons. Un ange leur est apparu et leur a annoncé la bonne nouvelle qu'un Sauveur, le Messie, était né. L'ange a dit aux bergers qu'ils pourraient trouver Jésus étendu dans une mangeoire. Soudain, tout un groupe d'anges apparurent en disant: "Gloire à Dieu au plus haut des cieux et paix sur la terre".
Les bergers se sont précipités à Bethléem et ont trouvé Jésus dans le mangeoire, comme leur avait dit l'ange. Après avoir vu Jésus, ils ont annoncé la bonne nouvelle.
Les événements de la naissance de Jésus ont accompli de nombreuses prophéties sur le Messie juif à venir. Isaïe, prophète de l'Ancien Testament, a prédit une jeune femme vierge, qui concevrait et donnerait naissance à un bébé et l'appellerait Emmanuel, ce qui signifie "Dieu avec nous" (Isaïe 7:14).
Jésus a été baptisé par Jean-Baptiste et a commencé son aventure. Il a accompli de nombreux miracles - guérir les malades, chasser les démons, changer la météo, nourrir des milliers de personnes avec le déjeuner d’un petit garçon et bien d’autres œuvres miraculeuses au cours de ses trois années d'activité.
La mort de Jésus-Christ sur la croix était l'aboutissement de son ministère terrestre (Marc 15: 21-41). C'est le but de sa vie et la raison pour laquelle il est né. Jean 3:16 dit: "Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais qu'il ait la vie éternelle." Le corps de Jésus a été descendu de la croix, déposé dans un tombeau emprunté et laissé jusqu'au lendemain du sabbat. Quand les femmes sont venues préparer le corps pour l'inhumation, elles ont trouvé la tombe vide. Jésus était ressuscité des morts dans son état de gloire et semblerait montrer à beaucoup de gens que la mort n'avait aucune emprise sur lui (Marc 16). Il est ensuite monté au ciel (Luc 24:50).
En répondant à cette question, il est essentiel d'étudier ce que Jésus a expliqué être. Voici sa réponse, dans ses mots :
Jésus a également expliqué être le pain de vie (Jean 6:35), le bon berger (Jean 10:11), la vraie vigne (Jean 15: 1), le donneur d'eau vive (Jean 4:10), la lumière du monde (Jean 8:12), le futur juge (Jean 5: 22-23), l’agneau de Dieu (Jean 1:36), la porte du salut (Jean 10: 9), le Sauveur (Jean 3 : 14-16), le Messie (Jean 4:26) et le guérisseur (Luc 18:42).
Est-il simplement un bon professeur, un homme religieux de l'histoire ? Ou pensez-vous qu'il est plus que cela ? Le connaissez-vous personnellement, vous qui lisez ces mots ? Jésus, lui, veut avoir une relation personnelle avec vous, pour accepter son don de la vie éternelle, pour accepter son sacrifice pour vos péchés. Jésus veut être votre Sauveur et Seigneur.
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]]>Qu'est-ce que le chapelet ?
Le mot chapelet vient du latin et désigne une guirlande de roses, la rose étant l'une des fleurs utilisées pour symboliser la Vierge Marie. Si vous deviez demander quel objet est le plus emblématique des catholiques, les gens diraient probablement : "Le chapelet, bien sûr."
Nous connaissons bien les images : les lèvres silencieuses de la vieille femme qui touche fébrilement ses perles, le chapelet surdimensionné suspendu à la taille de la nonne bouclée ou, plus récemment, le chapelet simplement décoratif suspendu au rétroviseur.
Après Vatican II (IIe concile œcuménique du Vatican, ouvert le 11 octobre 1962 et terminé le 8 décembre 1965), le chapelet est tombé en désuétude. Il en va de même pour les dévotions mariales dans leur ensemble. Mais ces dernières années, le chapelet a fait son grand retour, et pas seulement parmi les catholiques. De nombreux protestants récitent maintenant le chapelet, le reconnaissant comme une forme de prière biblique. Après tout, les prières qui le composent proviennent principalement de la Bible.
Le chapelet est une dévotion en l'honneur de la Vierge Marie. Il consiste en un nombre défini de prières spécifiques. Il y a d’abord les prières d’introduction: un symbole des apôtres (Credo), un notre Père (le Pater Noster ou la prière du Seigneur), trois Hail Mary’s (Ave), un Glory Be (Gloria Patri). Chapelet en main.
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Nous devons toutes et tous toujours garder à l'esprit que le but du Rosaire est le Christ. Quand nous prions le Rosaire, nous nous approchons du Christ par Marie, sa Mère et notre Mère, à cause de son lien particulier avec Lui et avec nous. Cet article n'a pas pour but d'explorer toutes les raisons de la dévotion à Marie, mais des volumes de plusieurs milliers de pages pourraient être écrits sur ce sujet, ainsi que sur les fondements bibliques de la dévotion mariale.
Marie est la Mère du Christ, et donc aussi notre Mère, parce que nous faisons toutes et tous partie du Christ. Une famille doit être extrêmement dysfonctionnelle lorsque les enfants ne désirent pas honorer leur mère, n'est-ce pas ? Dans un sens très réel, quand nous honorons Marie, nous faisons ce que le quatrième commandement attend de nous. C'est Dieu lui-même qui a préservé Marie de toute trace de péché, il a fait d'elle sa propre Mère, l'a élevée au Ciel après l'achèvement de sa vie terrestre, il l'a couronnée et en a fait la médiatrice de la grâce entre le Christ et les hommes. Si Dieu Lui-même a jugé bon de devoir prier si abondamment Marie, nous ne faisons que ce que Dieu Lui-même fait quand nous aussi honorons Marie. Cependant nous n'honorons pas Marie pour elle-même, nous l'honorons pour glorifier Dieu, dont elle est l'entière œuvre.
Comme Marie a toujours été libérée du péché, toute sa vie a toujours été centrée sur et autour de Dieu. Quand nous nous tournons vers elle dans la prière, elle nous guidera donc immédiatement vers le Christ, parce qu'elle n'a jamais eu une pensée qui ne soit pas un acte d'adoration pour notre Seigneur, pour Dieu. Tout son être a toujours été défini par l'adoration complète et exclusive de Dieu ; elle n'a jamais connu un autre mode d'existence. Quand nous lui ouvrons nos âmes, elle les moule pour les disposer pour l'amour parfait et pour l'adoration totale et complète de Dieu.
Juste après la nature humaine du Christ, Marie est la créature la plus proche de Dieu. Si le Christ est le médiateur de toute grâce entre Dieu et la création, Marie est la médiatrice de toute grâce entre le Christ et l'humanité. En conséquence, Marie est une puissante intercesseuse pour tous ceux qui se tournent spontanément vers elle. Dieu travaille habituellement par l'intermédiaire de ses créatures -- l'Evangile est prêché par les gens, les Bibles sont imprimées et distribuées par les gens, les églises sont construites par les gens; des êtres bel et bien humains. De la même manière, beaucoup de choses ne se produiront pas si les gens ne prient pas pour eux directement. C'est la raison pour laquelle les gens ont besoin de prier les uns pour les autres. Si nous croyons que nos prières s'entraident dans cette vie, pourquoi douter que les prières de ceux qui sont arrivés au Ciel puissent aussi nous aider. Si la prière d'une personne est efficace alors qu'elle est encore dans ce monde, pourquoi sa prière ne serait-elle pas encore plus efficace quand elle est face à Dieu, dans la gloire éternelle ? Il est important d'y réfléchir.
Quand nous la prions, nous pouvons être sûrs que nos prières seront exaucées. Peut-être que la réponse ne viendra pas exactement sous la forme que nous aimerions - mais à la fin, nous nous trouverons plus heureux que jamais, et nous nous rapprocherons de plus en plus de Dieu dans le culte et l'amour.
Pourquoi prier le chapelet ?
De nombreux grands papes, saints et dirigeants chrétiens récitent le chapelet. C’est une prière puissante qui peut changer votre vie, renforcer la famille, apporter la paix et gagner le salut des âmes.
Mais comment le citoyen de tous les jours expérimente le chapelet ?
Si le chapelet ne fait pas partie de votre vie de prière habituelle à l’heure actuelle, il est facile de vous mouiller les pieds avec cette dévotion. Voici cinq éléments clés que vous devez savoir pour commencer à prier le chapelet.
Premièrement, nous n’avons pas à réciter le chapelet en même temps. Bien sûr, certaines personnes pourraient s'asseoir et prier silencieusement tout un chapelet en une seule séance. Mais nous pouvons aussi choisir de le diviser en deux ou trois décennies à la fois: sur le chemin du travail, entre les courses, entre les réunions, tout en pliant le linge ou en faisant la vaisselle. De nombreux hommes et femmes saints et même des papes ont prié le chapelet de cette façon et l'ont trouvé gérable et fructueux pour leur vie bien remplie.
Deuxièmement, nous pouvons prier n'importe où ! Le chapelet est comme une chapelle portable que nous pouvons garder dans nos poches et sortir à tout moment, n’importe où. Que nous ayons une situation soudaine et urgente à présenter à Dieu dans la prière ou que nous voulions simplement remplir une partie de notre journée avec des pensées de Dieu, tout ce que nous avons à faire est de toucher les perles de notre chapelet et de nous tourner vers le Seigneur dans cette prière. En effet, le chapelet est toujours accessible. Nous pourrions le prier dans une église, dans notre chambre, dans notre bureau. Ou nous pouvons prier dans la voiture, sur l'appareil de musculation, dans les magasins d'alimentation, ou en coupant l'herbe ou en vous promenant. Amener nos cœurs au rythme du chapelet est une chose que nous pouvons faire par intermittence tout au long de la journée.
Troisièmement, nous pouvons prier le chapelet de différentes manières, en le personnalisant pour répondre aux besoins du moment. Parfois, nous pouvons nous concentrer sur les mots des prières, en pensant, par exemple, au salut de Gabriel à Notre-Dame, alors que nous disons lentement et avec une grande dévotion: «Je vous salue, Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec vous». Le chapelet nous fait réfléchir aux mystères de la vie du Christ, contemplant dans la prière des scènes telles que sa naissance à Bethléem, sa transfiguration ou sa mort sur la croix, gravant l’Évangile dans nos cœurs. À d'autres moments encore, nous pourrions nous concentrer en priant le chapelet sur le saint nom de Jésus au centre de chaque Ave Maria, prononçant son nom avec tendresse, avec amour au cœur de notre chapelet.
Vers qui orienter nos prières du chapelet ?
Vous pouvez orienter vos prières du chapelet vers différentes personnes, que vous connaissez directement ou non :
-pour nous-même
-pour un proche (sa guérison, par exemple)
-un membre de votre famille
-les pasteurs et chefs spirituels
-les malades
-nos ennemies
En conclusion, il est important de dire que lorsque nous effectuons les prières individuelles du Rosaire, nous devons les réciter lentement, soit en nous concentrant sur le sens des mots eux-mêmes, soit en méditant d'une manière profonde et spirituellement intense. Nous devons prendre extrêmement soin de ne pas faire en sorte que la prière du chapelet ne devienne qu'une simple habitude, faite rapidement, sans grande attention. La prière n'est pas un acte ou un précédé magique. Les paroles ne feront rien pour nous si nous ne les prions pas du plus profond de notre cœur. Un prière du chapelet faite d'une manière hâtive, avec peu d'attention, n'aura presque aucun avantage pour nous. Mais un chapelet dit sincèrement, avec une dévotion profondément sincère, laissera une marque durable sur notre développement spirituel.
Si possible, nous devrions méditer avant ou après la prière, en faisant une pause d'une minute ou deux, afin de réfléchir intensément sur le sens de ce que l'on vient de dire.
Enfin, chaque fois que nous prions le chapelet, nous devons nous assurer d'énoncer nos désirs, nos attentes, à un moment donné, afin de savoir pour quoi nous prions et de pouvoir répondre au désir de Dieu de nous accorder de plus en plus de grâces par le rosaire.